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Archive pour la catégorie ‘D – Messages de St Vincent de Paul’

St Vincent de Paul

mercredi 30 septembre 2015

VIncent-eye-mouth

On m’appelle le petit Paul, je suis heureux d’être avec vous aujourd’hui. Et là je vous demande, moi, je vais être plus catégorique, je vous demande d’avancer, je vous demande de parler autour de vous, je vous demande de vous « booster » un mot qui vous appartient qu’on ne connaissait pas. Mais ce mot doit vous faire avancer pour permettre l’ouverture de cette maison. Cette maison est le lien principal, à l’heure actuelle, entre Marie, tous les saints, Dieu le Père, L’Esprit Saint et Son Fils. Nous arrivons à l’échéance maintenant il faut que tout homme, tout être humain réagisse. Prenez mon chemin, mon chemin n’était délétère, il n’était pas, il n’était pas richissime, au contraire, et j’ai eu tellement de preuves d’Amour et de Paix. Aujourd’hui, je vous demande de prendre ce même chemin et on vous aidera on vous apportera l’écu pour avancer et pour, surtout, ouvrir cette maison qui est le cœur même de Marie. Son Cœur est à Ardouane. Elle offre la chapelle à son Fils. Le cœur de Marie est à Ardouane. Sachez que ce lieu n’est pas un lieu anodin et c’est pour ça qu’il faut que tout le monde se mette au travail. Je vous remercie de m’avoir écouté. J’ai été souvent attaqué, mais j’ai souvent aimé, j’ai aimé les fidèles, j’ai aimé toute la vie qui était autour de moi. J’ai apporté ce que je pouvais apporter de mieux en moi-même mais ce n’était pas assez, ce n’était pas suffisant. Aujourd’hui, je suis là pour vous aider, pour mettre en relation le Ciel et la Terre pour permettre l’ouverture de cette maison. Tous les saints, tous les saints, il y en a autour de moi Sainte Bénédicte, Saint François d’Assise, Saint Jean Bosco, ils sont tous autour de moi. Ils me demandent de vous dire que vous avez l’approbation. Ardouane n’est pas une erreur, n’est pas un faux prétexte, n’est pas des vues comme vous dites, des vues mentales de « guerrillero ». Non, c’est une réalité et le messager est bien un vrai messager, il faut l’écouter, il faut aller de l’avant. Je suis, vous savez, j’ai fait nombres de chemins, de routes, on m’appelait le petit Paul, du moins c’est moi qui m’appelle ainsi, j’ai vu tellement de choses, tellement de merveilles en ce monde, merveilles de Dieu. Qu’aujourd’hui les mêmes merveilles évoluent, sortent de la terre : c’est Ardouane, cette maison qui sera sanctifiée, qui est déjà sanctifiée mais qui va permettre d’ouvrir d’autres maisons, qui va permettre de sécuriser beaucoup de gens malades, en état de vieillesse avancée, mais même des enfants qui sont en difficulté. Tout ceci va évoluer. Il faut avancer, il faut que chacun participe à cette évolution et nous, nous prions en chaque instant car notre travail n’est que de prier afin que se réalise la volonté de Marie, la volonté de Dieu. Je vous remercie de m’avoir écouté.

 

Message du 20 septembre 2015

 

 

21 avril 2015 (Lourdes)

vendredi 15 mai 2015

Saint-Vincent-de-Paul

Mes frères et sœurs, je vous demande d’avancer avec rigidité, avec force et une foi inébranlable. Vous l’avez, il vous manque une union parfaite entre vous afin de ponctuer votre chemin de bienfaits et de réussites. J’ai commencé mon chemin tout petit. Mon trajet m’a amené très loin sans avoir jamais rien demandé, seulement d’avoir offert ma vie. J’ai offert, j’ai offert pour Dieu, en Son Nom j’ai offert, j’ai transmis ma force d’amour, ma force physique. On m’appelait le petit Paul. J’aimais bien ce nom. Je ne suis pas digne de ma sanctification, j’ai commis beaucoup d’erreurs. Mais nombre de personnes sont à même de venir vous aider, et je fais partie d’eux. Sœur Thérèse est avec nous, Sainte Bernadette est avec nous, Marthe Robin est avec nous, le prêtre, curé d’Ars est avec nous et ainsi de suite. Tout le monde est à l’écoute dans votre avancée, dans votre travail de foi, d’Amour et de Paix.

 

 

 

 

 

15 août 2010

samedi 21 août 2010

Mes enfants, je pourrais dire mes frères et sœurs, je vais encore faire remonter certaines critiques.  Vous savez, comme je dis à chaque fois, on m’appelait le petit père. Aujourd’hui, je trouve que vous manquez d’énergie, vous manquez de foi en vous-mêmes,  vous avez peur de cet avenir, mais cet avenir était pareil à mon époque, qu’avez-vous fait depuis ? Je vous demande simplement si la prière, c’est l’amour avec autrui. Allez, il faut donner à autrui. La bourse, elle est pleine chez vous et elle est vide à côté, alors donnez votre bourse et vous verrez que le Seigneur rendra cette bourse multipliée par dix, par cent ! Le savez-vous ça ? Que cette bourse matérielle ne correspond à rien, elle n’est qu’une excuse dans votre vie, elle n’est qu’un passage, elle n’apporte rien à rien, cette bourse n’existe pas, il n’y a que votre cœur. Cette référence à votre cœur envers autrui, cette largesse envers autrui, oui là, vous êtes enfants de Dieu, enfants de Dieu. Et le chemin n’est pas aussi long que vous croyez. Chacun met des embûches devant ses pieds, alors appelez-moi, je ferai sauter ces embûches autant que je le pourrai, mais soyez fermes dans votre cœur, fermes dans votre foi et si vous allez au devant d’autrui, allez-y jusqu’au bout. Laissez votre bourse, laissez-la et vous comprendrez. Merci.

15 février 2009

vendredi 28 août 2009

Mes frères bonjour,

Vous me connaissez, je suis déjà venu plusieurs fois. Vous me connaissez, on m’appelle le petit père des pauvres, vous savez celui qui sillonnait les rues pour soutenir tous les affamés. Aujourd’hui, je viens vous voir parce que j’ai besoin de vous faire comprendre que vous êtes à une croisée et cette croisée, c’est la croisée de l’ouverture de cette maison pour tous ceux qui ont souffert,  pour tous ceux qui souffrent à l’heure actuelle. Je suis là derrière vous, je prie, je viens vous aider, je vous houspille d’une certaine manière. Alors écoutez-moi, avancez ! Et aujourd’hui, je suis fier que ce projet puisse se réaliser.

15 novembre 2006

vendredi 28 août 2009

«   Je vous remercie Marie de m’accorder la joie de vous parler afin de vous voir avancer sur la Mission Divine.

Je suis déjà venu parmi vous et je reviendrai selon la volonté Divine et dans la joie de vous accorder la petite connaissance qui vous fera grandir sur cette terre.

Je suis le Petit Père et vous me reconnaissez sous le nom de Paul ; je viens vous apporter mes encouragements à votre Mission et vous stimuler en sa réalisation. Vous avez, selon votre parler, « toutes les cartes en mains » ; disposez-les devant vous et avancez selon leur placement. Des personnes vous entourent et écoutent ; prêtres, laïcs, politiques, quidam. Ils attendent de connaître votre avancée pour vous soutenir et vous aider dans l’épanouissement de la réalisation de la Maison de Marie. Le Père, en chaque étape, apportera Sa Bénédiction et la résolution de vos demandes. En ces jours, il vous faut vous donner la main et avancer ensemble dans cette réalisation. Soyez humbles dans votre démarche et surtout n’oubliez pas la souffrance qui vous entoure, c’est elle qui vous guide pour réussir. Cette réussite, vous la léguerez à ces souffrances pour les soulager, les guérir ou les accompagner avec amour et tendresse auprès du père Eternel.

Je vous accorde mes prières et le don de ma personne pour cette réalisation, je suis à vos côtés pour vous guider en silence, mais avec mes prières, auprès du Père Eternel. Appelez-moi. »

15 décembre 2002

vendredi 28 août 2009

Je n’ai pas écouté les paroles de notre Mère Eternelle, mais je suis, vous savez, celui qui marchais sur la route avec le bâton….

Je suis déjà venu. Vous savez, Paul, vous connaissez ! Je sais que je suis un peu rugueux de la parole, je suis un peu rude sur toutes d’autres choses que je dis, que je fais ; mais mon bâton m’a servi, ma route m’a été profitable et a été profitable à bien des hommes.

Alors aujourd’hui je viens, je reviens parce que vous avez besoin peut-être d’être un peu, comme vous dites dans votre langage actuel, « boostés ». Je ne sais pas ce que cela veut dire, moi directement, mais je crois que c’est un terme moderne lié à l’informatique ou je ne sais pas quoi. Bon, enfin je vous transmets ce terme comme je l’ai entendu et je viens vous demander de vous mettre à genoux, de prier pour toutes ces femmes qui souffrent, pour tout ce manque de compréhension, de ce manque d’attente vers la Paix et l’Amour.

Les gens tournent le dos. Pourquoi ? Parce qu’ils n’ont plus foi, ils n’ont plus rien, ils n’ont plus rien. Mais pourquoi ils n’ont plus rien ? Parce qu’on ne leur donne pas les moyens de croire.

Vous, vous priez pourquoi ? Parce que c’est inscrit, je dirais, dans les échos de votre corps ; la foi transpire en vous, l’amour transpire en vous, même si parfois vous faites des erreurs – on est des êtres humains – j’étais le premier à y passer, hein, je sais de quoi je parle.

Mais aujourd’hui il va falloir que l’union soit plus grande.

A l’heure actuelle on parle de l’union des peuples, de l’union des pays et tout.

Sachez que c’est une bévue, parce que c’est une union factice, c’est une union de fous et de fric.

Ne vous inquiétez pas, il y a quand même une union d’amour derrière ; il y a des gens qui prient, comme vous, comme d’autres, il y a des éléments sur toute la terre qui prient chaque jour en vue d’une évolution plus concrète vers l’Amour et la Paix.

Vous m’excuserez, je suis un peu rapide, mais je ne suis pas tout seul et je voudrais simplement vous apporter mon soutien et puis, je veux vous dire de vous « booster », hein, que vous alliez plus loin !

Je prie pour vous aussi.

St Vincent de Paul

13 juillet 1997

jeudi 27 août 2009

Prenez votre bâton de pèlerin, il faut que vous preniez votre balluchon et que vous alliez sur le chemin de la Terre afin d’aider tous ceux qui sont dans la tristesse, dans l’amertume, dans la pauvreté, il faut que vous bougiez, que vous alliez au-devant des autres ; il faut absolument sortir de ce marasme tous les gens qui y sont tombés par la faute de l’argent, par la faute du modernisme. Au travers de votre vie actuelle, vous n’avez même pas su reconnaître qui était Dieu et qui était le Malin.

Je suis là simplement pour vous aider et vous apporte un secours permanent, afin de vous guider sur ce chemin. J’ai passé aussi mon temps sur les routes. J’ai vécu la maladie, j’ai vécu la pauvreté, la misère, le froid, le chaud, la faim, vous devez en faire autant, je suis là pour vous aider.

On m’appelait le petit Paul. Tous ceux que j’ai aidés sont au Paradis maintenant, ils sont avec vous en train de prier afin que vous suiviez le chemin de Dieu le Père. J’ai marché pieds nus tant de fois et quand je vous vois, galvaudés tels que vous êtes, vous ne méritez pas de suivre ce chemin, vous n’êtes pas réveillés à la parole de Dieu. Vous êtes au sein de votre vie des robots, des gens que l’on manipule, que l’on même à droite, à gauche, selon la volonté de l’un ou de l’autre. Il n’y a qu’une volonté, c’est la volonté Divine, c’est la volonté qui doit vous montrer le paradis, c’est la volonté qui doit vous apprendre l’enseignement d’Amour et de Paix au travers de tous les hommes. Ce n’est pas en embrassant son frère qu’on lui apporte tout le bonheur, non, c’est en lui donnant tout ce que l’on a, alors oui, là, Dieu passe de l’un vers l’autre et vous êtes tous deux unis avec Dieu. Il faut donner, donner, partager, offrez ce que vous avez, Dieu le multipliera cent fois quand vous serez au paradis. Mais voilà, le chemin est encore long parce que vous faites deux pas en avant, un pas en arrière, vous avez peur ; allez de l’avant, vous êtes soutenus et vous serez toujours soutenus. Je vous laisse avec votre Mère.