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Archive pour le mot-clef ‘bâton’

15 décembre 2002

vendredi 28 août 2009

Je n’ai pas écouté les paroles de notre Mère Eternelle, mais je suis, vous savez, celui qui marchais sur la route avec le bâton….

Je suis déjà venu. Vous savez, Paul, vous connaissez ! Je sais que je suis un peu rugueux de la parole, je suis un peu rude sur toutes d’autres choses que je dis, que je fais ; mais mon bâton m’a servi, ma route m’a été profitable et a été profitable à bien des hommes.

Alors aujourd’hui je viens, je reviens parce que vous avez besoin peut-être d’être un peu, comme vous dites dans votre langage actuel, « boostés ». Je ne sais pas ce que cela veut dire, moi directement, mais je crois que c’est un terme moderne lié à l’informatique ou je ne sais pas quoi. Bon, enfin je vous transmets ce terme comme je l’ai entendu et je viens vous demander de vous mettre à genoux, de prier pour toutes ces femmes qui souffrent, pour tout ce manque de compréhension, de ce manque d’attente vers la Paix et l’Amour.

Les gens tournent le dos. Pourquoi ? Parce qu’ils n’ont plus foi, ils n’ont plus rien, ils n’ont plus rien. Mais pourquoi ils n’ont plus rien ? Parce qu’on ne leur donne pas les moyens de croire.

Vous, vous priez pourquoi ? Parce que c’est inscrit, je dirais, dans les échos de votre corps ; la foi transpire en vous, l’amour transpire en vous, même si parfois vous faites des erreurs – on est des êtres humains – j’étais le premier à y passer, hein, je sais de quoi je parle.

Mais aujourd’hui il va falloir que l’union soit plus grande.

A l’heure actuelle on parle de l’union des peuples, de l’union des pays et tout.

Sachez que c’est une bévue, parce que c’est une union factice, c’est une union de fous et de fric.

Ne vous inquiétez pas, il y a quand même une union d’amour derrière ; il y a des gens qui prient, comme vous, comme d’autres, il y a des éléments sur toute la terre qui prient chaque jour en vue d’une évolution plus concrète vers l’Amour et la Paix.

Vous m’excuserez, je suis un peu rapide, mais je ne suis pas tout seul et je voudrais simplement vous apporter mon soutien et puis, je veux vous dire de vous « booster », hein, que vous alliez plus loin !

Je prie pour vous aussi.

St Vincent de Paul

13 juillet 1997

jeudi 27 août 2009

Prenez votre bâton de pèlerin, il faut que vous preniez votre balluchon et que vous alliez sur le chemin de la Terre afin d’aider tous ceux qui sont dans la tristesse, dans l’amertume, dans la pauvreté, il faut que vous bougiez, que vous alliez au-devant des autres ; il faut absolument sortir de ce marasme tous les gens qui y sont tombés par la faute de l’argent, par la faute du modernisme. Au travers de votre vie actuelle, vous n’avez même pas su reconnaître qui était Dieu et qui était le Malin.

Je suis là simplement pour vous aider et vous apporte un secours permanent, afin de vous guider sur ce chemin. J’ai passé aussi mon temps sur les routes. J’ai vécu la maladie, j’ai vécu la pauvreté, la misère, le froid, le chaud, la faim, vous devez en faire autant, je suis là pour vous aider.

On m’appelait le petit Paul. Tous ceux que j’ai aidés sont au Paradis maintenant, ils sont avec vous en train de prier afin que vous suiviez le chemin de Dieu le Père. J’ai marché pieds nus tant de fois et quand je vous vois, galvaudés tels que vous êtes, vous ne méritez pas de suivre ce chemin, vous n’êtes pas réveillés à la parole de Dieu. Vous êtes au sein de votre vie des robots, des gens que l’on manipule, que l’on même à droite, à gauche, selon la volonté de l’un ou de l’autre. Il n’y a qu’une volonté, c’est la volonté Divine, c’est la volonté qui doit vous montrer le paradis, c’est la volonté qui doit vous apprendre l’enseignement d’Amour et de Paix au travers de tous les hommes. Ce n’est pas en embrassant son frère qu’on lui apporte tout le bonheur, non, c’est en lui donnant tout ce que l’on a, alors oui, là, Dieu passe de l’un vers l’autre et vous êtes tous deux unis avec Dieu. Il faut donner, donner, partager, offrez ce que vous avez, Dieu le multipliera cent fois quand vous serez au paradis. Mais voilà, le chemin est encore long parce que vous faites deux pas en avant, un pas en arrière, vous avez peur ; allez de l’avant, vous êtes soutenus et vous serez toujours soutenus. Je vous laisse avec votre Mère.