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Archive pour le mot-clef ‘prière’

Trilogie d’Amour et de Paix

samedi 21 mai 2016

jesus

Ah oui, on est tous forts, vous êtes tous forts par la parole mais devant la situation, il est différent de prendre une résolution et Je suis heureux qu’il en soit ainsi par la volonté divine de Ma Mère pour que vous soyez tous unis dans cette résolution.
Ma Mère est béate, elle est sainte, elle est ce que nous ne sommes pas. Elle a vécu, elle a vu, elle a ressenti, elle a aimé et aujourd’hui, elle vous demande simplement de prier pour elle.
Quand Je dis « prier »pour elle, Ma Mère demande simplement la foi, pas la prière pour elle. Non, toute prière qui est demandée n’est liée qu’à vous, qu’à votre vie, à votre soulagement matériel, physique. Non, jamais il ne vous sera demandé de prier pour le soulagement du Père, du Fils et même du Saint-Esprit. Tout ceci est une Trilogie d’Amour et de Paix, mais jamais il ne vous est demandé au travers de cette Trilogie de demander pardon d’aimer. Non, ceci est naturel. Ceci est le fait d’un ressentiment de tous et de chacun. Soyez attentifs, écoutez bien, relatez tout ce que vous entendez, mais relatez avec la force, la vigueur de l’Amour et de la Paix. Ceci dans votre vie ne doit être qu’une chose tout à fait ordinaire. Sachez que la vie n’est qu’un mouvement, pas une gesticulation mais presque, un mouvement de la vie corporelle de chacun. Cette vie corporelle correspond à chacun. Elle est plus ou moins évidente, plus ou moins flagrante, mais elle est, humainement parlant, quelque chose de réel. Donc, il n’y a pas à parler de positivité ou négativité. Non, on ne peut parler que, d’une certaine manière, d’un élément d’évolution qui vous permet ou qui permet à chacun d’évoluer positivement, négativement d’après son ressentiment personnel. Mais ceci ne peut en aucun cas vous être révélé avant que vous ne soyez plongés dans ce domaine. Et ceci, pardonnez-Moi, ne se fera qu’au travers de la vie de chacun et peu seront au courant à l’avance de cet avenir.

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Paroles de Jésus, 15 mai 2016

 

 

 

 

 

 

 

Je ne souffrais plus, j’aimais.

samedi 21 mai 2016

Marthe

Je ne suis jamais venue. C’est la première fois. Je suis la petite Marthe, celle qui a connu le lit. Que de bonheur j’ai eu de connaitre mon Mari dans l’infini. Que de beauté, de bonté, d’agréments de la vie j’ai dû subir avec tant de délicatesse. Seul l’homme m’a fait souffrir. Il m’a fait souffrir de son ignorance, de son peu de foi. J’aimais tant pourtant les voir sourire. Et pourtant, ils étaient là en train de me plaindre alors que j’étais dans le bonheur ineffable. Ils n’ont pas compris que le bonheur est dans la douleur, que le bonheur se fait au travers de tous les actes de la vie. C’est dans la souffrance qu’on s’approche au plus près de son Etre Bien Aimé. Je ne souffrais plus, j’aimais, et cet amour est indestructible. Je suis et je resterai parmi vous afin que la volonté divine se réalise. Vous avez toute mon attention et mes prières car vous êtes sur le chemin de la voie, et la volonté, vous êtes sur ce chemin de vérité qui permettra à l’homme de se retrouver lui-même et surtout de pouvoir se donner la main, tous, en une seule chaine, la chaine de l’amour. Soyez les bienheureux sur cette terre, Je vous accorde toute ma plénitude dans la prière, cette plénitude que Dieu m’accorde et qu’Il m’a accordée. Avec Sa volonté, je vous la transmets, je vous transmets toutes mes prières. Et ma mère m’accorde son sourire, sourire de perfection d’amour. C’est une beauté incomparable, inimaginable sur terre mais pourtant tellement réelle. Merci de m’avoir écoutée et sachez que je resterai auprès de vous et que mes prières seront adressées dans votre avenir selon la volonté divine.

Message du 14 mai 2016

 

 

 

 

15 janvier 2013

jeudi 24 janvier 2013

Rappelez-vous mon soutien terrestre, celui apporté à ce jour est multiplié à l’extrême pour vous suivre et vous soutenir. Je suis animée d’une très forte prière à l’encontre de (pour) votre mission. Allez vite sur le continent noir.

 

 

15 août 2010

samedi 21 août 2010

Mes enfants, je pourrais dire mes frères et sœurs, je vais encore faire remonter certaines critiques.  Vous savez, comme je dis à chaque fois, on m’appelait le petit père. Aujourd’hui, je trouve que vous manquez d’énergie, vous manquez de foi en vous-mêmes,  vous avez peur de cet avenir, mais cet avenir était pareil à mon époque, qu’avez-vous fait depuis ? Je vous demande simplement si la prière, c’est l’amour avec autrui. Allez, il faut donner à autrui. La bourse, elle est pleine chez vous et elle est vide à côté, alors donnez votre bourse et vous verrez que le Seigneur rendra cette bourse multipliée par dix, par cent ! Le savez-vous ça ? Que cette bourse matérielle ne correspond à rien, elle n’est qu’une excuse dans votre vie, elle n’est qu’un passage, elle n’apporte rien à rien, cette bourse n’existe pas, il n’y a que votre cœur. Cette référence à votre cœur envers autrui, cette largesse envers autrui, oui là, vous êtes enfants de Dieu, enfants de Dieu. Et le chemin n’est pas aussi long que vous croyez. Chacun met des embûches devant ses pieds, alors appelez-moi, je ferai sauter ces embûches autant que je le pourrai, mais soyez fermes dans votre cœur, fermes dans votre foi et si vous allez au devant d’autrui, allez-y jusqu’au bout. Laissez votre bourse, laissez-la et vous comprendrez. Merci.

11 juillet 2010

jeudi 15 juillet 2010

On me met souvent en cause dans de nombreux pays. Je suis toujours là et toujours présent quand il s’agit de faire fortifier la foi. Je suis le petit Padre celui que vous aimez tant et qui vous aime autant. Alors encore aujourd’hui je vous demande de vous battre et d’avancer. Pensez à moi parce que moi je pense à vous, je prie pour vous. Je vous fais avancer dans la prière. Ce que souffrent certaines personnes sur terre, ils le gagneront multiplié par cent là où je suis. Ils connaitront le bonheur de l’Amour et de la Paix. Sachez qu’on ne regrette pas la terre quand on est auprès de Marie et de Dieu. Alors battez-vous, je vous demande de vous battre et de vous battre dans la Paix et dans l’Amour.

Merci