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Archive pour la catégorie ‘Histoire’

Manifestation de notre Seigneur

samedi 7 janvier 2012

L’Épiphanie célèbre la visite des mages à l’enfant Jésus, le Messie dans le monde. Elle a lieu le 6 janvier. En France, puisque ce jour n’est pas férié, elle est célébrée le deuxième dimanche suivant Noël.

« Épiphanie » est un mot d’origine grecque, (Epiphaneia) qui signifie « manifestation » ou « apparition » – du verbe  (faïnò), « se manifester, apparaître, être évident » – et dont l’utilisation est antérieure au christianisme. Les Épiphanes sont, dans la culture grecque, les divinités qui apparaissent aux hommes, comme Zeus, Athéna, Hermès, Héra, Poséidon, Déméter, Héphaïstos, Aphrodite, Arès, Artémis, Hestia. L’Épiphanie chrétienne ne s’inspire pas du culte païen des Épiphanes, car il s’agit d’une célébration de la manifestation publique du Fils de Dieu incarné (Jésus) au monde, non pas à partir d’une révélation extérieure à l’humanité ou sous les apparences de l’humanité, comme dans la mythologie grecque, mais dans la naissance d’un Enfant dans le peuple juif et qui en est le Messie, et sa rencontre avec le monde païen, symbolisé par les Mages de l’Evangile. La fête s’appelle aussi « Théophanie », qui signifie « manifestation de Dieu ». La fête était à l’origine, jusqu’à la fin du IVe siècle, la grande et unique fête chrétienne de la manifestation du Christ dans le monde : incarnation, Nativité, manifestation par la venue des Mages, manifestation par la voix du Père et la colombe sur le Jourdain, manifestation par le miracle de Cana.

Noël, avant d’être un jour, est d’abord un cycle, qui atteint son apogée au jour du solstice d’hiver (ou en tout cas un des jours associés au solstice) le 25 décembre. Cette nuit du solstice, qui est la plus longue de l’année, signifie le retour de la Lumière ou, mieux, la renaissance de la Lumière à l’origine de toutes choses. Puis la célébration se prolonge durant un nombre de jours hautement symbolique : 12 jours. Ainsi Noël est-elle une fête qui dure 12 jours et 12 nuits, le 12 représentant entre autres la Totalité (12 mois, 12 heures, 12 Apôtres)

Le cycle prend fin le 6 janvier. C’est à ce moment que les jours commencent à s’allonger de façon sensible, que la promesse de la nuit solsticiale est tenue. On célèbre alors l’Épiphanie, la manifestation de la Lumière. La galette symbolise par sa forme ronde le soleil.

Guidés par l’étoile, les mages venant d’Orient jusqu’à Bethléem sont entrés dans la maison où la bienheureuse Vierge Marie demeurait avec l’enfant ; ouvrant leurs trésors, ils ont offert trois dons au Seigneur : l’or, l’encens et la myrrhe, par lesquels ils l’ont confessé vrai Dieu, vrai homme et vrai roi.

Ce sont bien les dons que la sainte Eglise ne cesse d’offrir à Dieu son Sauveur. Elle offre l’encens lorsqu’elle le confesse et croit en lui comme étant le véritable Seigneur, créateur de l’univers ; elle offre la myrrhe lorsqu’elle affirme qu’il a pris la substance de notre chair, dans laquelle il a voulu souffrir et mourir pour notre salut ; elle offre l’or quand elle n’hésite pas à proclamer qu’il règne éternellement avec le Père et l’Esprit Saint…

Cette offrande peut recevoir un autre sens mystique. Selon Salomon, l’or signifie la sagesse céleste : « Le trésor le plus désirable se trouve dans la bouche du sage » (cf Pr 21,20)… Selon le psalmiste, l’encens symbolise la prière pure : « Que ma prière, Seigneur, s’élève devant toi comme un encens » (Ps 140,2). Car, si notre prière est pure, elle exhale vers Dieu un parfum plus pur que la fumée de l’encens ; et de même que cette fumée monte vers le ciel, ainsi notre prière se dirige vers le Seigneur. La myrrhe symbolise la mortification de notre chair. Donc nous offrons l’or au Seigneur lorsque nous resplendissons devant lui par la lumière de la sagesse céleste… Nous lui offrons de l’encens lorsque nous élevons vers lui une prière pure. Et de la myrrhe lorsque, par l’abstinence, « mortifiant notre chair avec ses vices et ses convoitises » (Ga 5,24), nous portons la croix à la suite de Jésus.

Poinsettia, l’étoile de Noël

vendredi 16 décembre 2011

Cette fleur de fête a une histoire riche et très symbolique.

Le poinsettia est une plante décorative offerte au moment des fêtes. Dans son pays d’origine, le Mexique, c’est le sujet d’un très beau conte de Noël. Dans la nuit sainte, alors que les jeunes se dirigeaient vers l’église avec des cadeaux pour l’enfant Jésus, Pépita n’osait rentrer car elle était trop pauvre. Un vieil homme qui la voyait pleurer lui rappela que le plus pauvre des cadeaux serait apprécié car le principal était de le donner avec amour. Pépita se leva et cueillit quelques branches d’un arbuste commun qui poussait au bord de la route.

UNE FLEUR NÉE D’UN MIRACLE

Lorsqu’elle les déposa aux pieds de la crèche, un miracle se produisit au grand étonnement de tous les participants. Les feuilles ordinaires et vertes s’illuminèrent soudain d’un superbe rouge flamboyant. Depuis cette époque, les poinsettias se parent de superbes couleurs au temps de Noël… et au Mexique ils sont devenus les flores de la Noche Buena ou les « fleurs de la Nuit Sainte ».

En Amérique centrale, les populations locales utilisent leurs vertus depuis des siècles. Les cataplasmes de feuilles sont utilisés pour traiter les affections de peau. Et on les utilisait aussi pour accroître la lactation des jeunes mères. On tirait aussi des bractées une teinture cramoisie. Bien sûr tous ces usages concernaient les poinsettias sauvages du Mexique.

En effet, les potées que nous offrons pour les fêtes sont issues de longues sélections et créations horticoles…

Leur histoire ornementale commence en 1825, lorsqu’un nouvel ambassadeur des États-Unis d’Amérique, passionné de botanique, prit ses fonctions à Mexico : le Dr Joël Roberts Poinsett. Sillonnant les campagnes, il réunit de belles collections de bulbes et de plantes qu’il envoyait chez lui, en Caroline du Sud.

Parmi ses découvertes se trouvait une superbe euphorbe aux bractées rouges, notre Euphorbia pulcherrima… qui se trouva rebaptisé du nom de notre diplomate.

Le poinsettia est un arbuste qui appartient à la famille des Euphorbiacées, tout comme les euphorbes des bords de nos chemins. Dans ses contrées d’origine – au sud du Mexique et en Amérique centrale – il peut atteindre plus de trois mètres de hauteur. Ce sont des variétés plus petites qui ont donné naissance à nos plantes décoratives.

Dans son habitat, le poinsettia fleurit naturellement autour de Noël. Sous nos climats, on les élève en contrôlant leur éclairement pour arriver au même résultat.

Les nombreux cultivars, maintenant disponibles, offrent aux consommateurs une gamme de couleurs et de formes comme des bractées roses, blanc crème, jaunes, rouge pourpre, marbrées, tachetées ou même ondulées.

 

samedi 10 décembre 2011

couronne

Signification des bougies de l’Avent

Ces bougies symbolisent les grandes étapes du salut avant la venue du messie.

  • La première est le symbole du pardon accordé à Adam et Ève
  • La deuxième est le symbole de la foi d’Abraham et des patriarches qui croient au don de la terre promise
  • La troisième est le symbole de la joie de David dont la lignée ne s’arrêtera pas. Elle témoigne de l’alliance avec Dieu
  • La quatrième est le symbole de l’enseignement des prophètes qui annoncent un règne de justice et de paix

Actuellement pour la messe dans les églises catholiques, on allume progressivement les quatre bougies, mais le symbolisme des étapes du salut est rarement exprimé. Dans les Églises orthodoxes se trouvent parfois des couronnes avec six cierges, à cause d’ une durée plus longue du temps de l’Avent.

bougies

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« Voici l’Agneau de Dieu ! »

lundi 5 décembre 2011
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Jean, après avoir fixé sur Lui son regard pénétrant, s’écrie: “Voici l’Agneau de Dieu. Comment peut-il se faire que mon Seigneur vienne vers moi?” Jésus répond tranquillement: “C’est pour accomplir le rite de pénitence.” “Jamais, Seigneur. C’est moi qui dois venir à Toi pour être sanctifié, et c’est Toi qui viens vers moi?” Et Jésus, en lui mettant une main sur la tête, parce que Jean s’était incliné devant Jésus, lui répond: “Permets que tout se fasse comme je veux, pour que s’accomplisse toute justice et que ton rite achemine les hommes vers un plus haut mystère et qu’il leur soit annoncé que la Victime est dans ce monde.” Jean l’observe avec un œil dont une larme adoucit le regard, et le précède vers la rive. Jésus enlève son manteau et sa tunique, gardant une sorte de caleçon court et descend dans l’eau où se trouve déjà Jean. Jean le baptise en Lui versant sur la tête de l’eau du fleuve, avec une sorte de tasse suspendue à sa ceinture et qui semble être une coquille ou une demi-calebasse séchée et vidée. Jésus est proprement l’Agneau, l’Agneau dans la blancheur de sa chair, la modestie de ses traits, la douceur de son regard. Pendant que Jésus remonte sur la rive, et qu’après s’être vêtu, il se recueille en prière, Jean le montre à la foule et témoigne de l’avoir reconnu au signe que l’Esprit de Dieu lui avait indiqué et qui désignait infailliblement le Rédempteur. Mais je suis polarisée par le spectacle de Jésus qui prie et je ne vois plus que cette figure lumineuse qui se détache sur le fond vert de la rive.
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Extrait de la Traduction de “L’évangile tel qu’il m’a été révélé” de Maria Valtorta ©Centro
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La bourrache

jeudi 17 novembre 2011

UN PEU D’HISTOIRE :

Les vertus magiques de cette plante ne s’exercent que lorsqu’elle est utilisée fraîche. Portez-en sur vous en la renouvelant pour affronter en vainqueur les risques de la vie.

« La bourrache peut dire, et c’est la vérité : Je soulage le coeur, j’enfante la gaieté ».?Ces deux vers de l’École de Salerne résument l’usage que les Anciens faisaient de la plante : ils la disaient propre à chasser la mélancolie. Mais quelle est-elle, cette gaie luronne?

Des fleurs d’un superbe bleu céleste, au sommet de grosses tiges hérissées de poils raides : la bourrache tire son nom du latin burra, « étoffe grossière »; d’aucuns ont cru voir dans « bourrache » une transcription de l’arabe abou rash, littéralement « père la sueur »; cette étymologie est fantaisiste, mais elle a le mérite de faire ressortir les vertus sudorifiques de la plante.

L’espèce nous vient probablement d’Afrique du Nord, et elle a gagné toute l’Europe et l’Amérique, tantôt cultivée et tantôt échappée des jardins. Ses feuilles épaisses et velues la font aussi sûrement reconnaître que ses fleurs à 5 pétales en étoile d’azur, et à grosses étamines brun noir rassemblées en bec d’oiseau.

Au Moyen Age déjà, le Grand Albert la disait « génératrice de bon sang »; dans l’Italie du XVIè siècle, Matthiole la recommandait contre les défaillances du cœur, pour rafraîchir les fiévreux et pour calmer leur délire.

CULTURE ET RÉCOLTE :

Il est très facile de cultiver la bourrache au jardin. Il lui faut une terre épaisse, bien fumée et bien exposée au soleil. Mettez les graines en terre en les semant à la volée, en automne ou en avril; éclaircissez quinze jours plus tard : vous aurez rapidement les plus beaux plants du monde (les besogneuses fourmis, les années suivantes, se chargeront de propager l’espèce alentour).

Cueillez, juste avant l’épanouissement, soit la plante entière, soit les sommités fleuries, soit les seules fleurs. Dans les deux premiers cas, faites sécher en petits bouquets suspendus à un fil. Pour les fleurs seules, Si vous voulez en conserver l’admirable teinte azurée, je vous conseille de les faire sécher rapidement dans un endroit sec et aéré.

USAGES :

La Bourrache est diurétique, sudorifique, dépurative. Ces trois principes la font recommander comme dépuratif de printemps contre les dermatoses, l’eczéma, l’herpès et les autres maladies de peau.

Ses propriétés sudorifiques sont les bienvenues chaque fois qu’il est nécessaire de transpirer, en cas de grippe, de rhume, de bronchite, de rougeole, de fièvre de plus, elle calme très bien la toux.

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Fête du COEUR IMMACULÉ de MARIE

lundi 22 août 2011

La propagation de la dévotion au Coeur de Marie remonte au XVIIe siècle où St Jean Eudes la propagea en l’unissant à celle du Sacré-Coeur de Jésus.

Au cours du XIXe siècle, sa sainteté Pie VII d’abord, et Pie IX ensuite, accordèrent à plusieurs églises une fête du Coeur très pur de Marie fixée au dimanche dans l’octave de l’Assomption, puis au samedi suivant la fête du Sacré-Coeur. Le 13 juillet 1917, la Sainte Vierge apparaissait au Portugal pour déclarer aux petits voyants de Fatima que Dieu voulait établir la dévotion à Son Coeur Immaculé pour le salut du monde. Elle demanda aux chrétiens la pratique du premier samedi du mois par la communion réparatrice et la récitation du chapelet accompagnée de la méditation des mystères du Rosaire.

Le 31 octobre 1942, le jour de la clôture solennelle du Jubilé des Apparitions de Fatima, le pape Pie XII s’exprimant à la radio, consacra le monde au Coeur Immaculé de Marie pour répondre à l’appel de notre Mère du ciel. Il renouvela ce geste important le 8 décembre 1942. En 1944, en pleine guerre mondiale, le même souverain pontife consacrait encore tout le genre humain au Coeur Immaculé de Marie pour le mettre sous Sa toute-puissante protection. A l’occasion de cette même cérémonie, il décréta que l’Eglise entière célébrerait chaque année une fête en l’honneur du Coeur Immaculé de Marie afin d’obtenir par l’intercession de la Très Sainte Vierge, «la paix des nations, la liberté de l’Eglise, la conversion des pécheurs, l’amour de la pureté et la pratique des vertus.» Il fixa la date de cette fête au 22 août, jour octave de la fête de l’Assomption.

En créant la très Sainte Vierge, la Trinité Sainte a pu contempler le ravissant spectacle d’un Coeur qui dès son premier battement n’aima que son Dieu, et L’aima à lui seul plus que tous les anges et les saints ensemble ne L’aimeront jamais. «Le Père, dit saint Jean Eudes, a déployé Sa puissance pour former un Coeur de fille plein de respect et de fidélité envers son Créateur. Le Fils en fit un Coeur de Mère et l’Esprit-Saint en fit un Coeur d’épouse pour y célébrer Ses noces ineffables.» La gloire de la fille du roi, disent les Livres Saints, est toute intérieure et cachée, autrement dit, elle est toute en Son Coeur. Là se trouvent toutes les perfections des anges et des hommes, dans un tel degré d’excellence que rien n’y peut être comparé. Là se trouvent les perfections de Dieu même, aussi fidèlement retracées qu’elles peuvent l’être dans une simple créature.

La bonté et la miséricorde président parmi les vertus dont Dieu a orné le Coeur Immaculé de Sa Mère. Aussi tout pécheur trouve en Elle un refuge assuré. Ce Coeur qui nous a tant aimé n’a point été flétri dans le tombeau comme celui des autres mortels. Ses mouvements n’ont été qu’un seul instant suspendus sous le souffle de la mort. Il vit aujourd’hui palpitant d’un amour infini, inondé de célestes délices au sein de la gloire immortelle où il continue de nous aimer avec prédilection.

Comme la sainte Eglise nous le recommande aujourd’hui au moyen de la belle fête du Coeur Immaculé de Marie, vouons un culte spécial de vénération et d’amour à ce Coeur magnanime, le plus noble le plus généreux qui soit sorti des mains du Créateur. Supplions-le donc de nous apprendre à aimer Jésus, à souffrir pour Lui, à supporter avec amour et résignation les peines de la vie, les souffrances et les croix qu’il plaira à Dieu de nous envoyer. Recourons donc sans cesse à ce Coeur incomparable et nous expérimenterons infailliblement sa bénignité, sa mansuétude et sa tendresse.

 

Thav

dimanche 14 août 2011
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Que mon cri parvienne jusqu’à toi, ô Eternel ! Rends-moi intelligent, selon ta parole.
Que ma supplication arrive en ta présence ; Délivre-moi, selon ta parole !
Mes lèvres répandront ta louange, Quand tu m’auras enseigné tes statuts.
Ma langue célèbrera ta parole, Car tous tes commandements sont justes.
Que ta main me soit en aide ! Car j’ai fait choix de tes commandements.
Je soupire après ton salut, ô Eternel, Et ta loi est tout mon plaisir.
Que mon âme vive, afin qu’elle te loue, Et que les décrets de ta justice me soient en aide !
Je suis errant comme une brebis perdue : Cherche ton serviteur, Car je n’ai pas oublié tes commandements.
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Psaume 119
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La lettre tav est la marque, le signe, le symbole : le Sceau Divin.
Dernière lettre de l’alphabet hébreu, elle représente l’aboutissement de la création et la totalité des choses créées. Notons que les trois dernières lettres de l’alphabet forment le mot rishet, qui veut dire : quadriller, montrant la création terminée, enveloppée et structurée.
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Schin

samedi 13 août 2011

Les grands m’ont persécuté sans cause ; Mais mon cœur n’a craint que tes paroles.
Je me réjouis de ta parole Comme celui qui a trouvé un grand butin.
Je hais le mensonge, je l’ai en abomination ; C’est ta loi que j’aime.
Je te loue sept fois le jour, Pour les décrets de ta justice.
Grande est la paix de ceux qui aiment ta loi ; Rien ne peut les renverser.
J’ai attendu ta délivrance, ô Eternel ! Et pratiqué tes commandements.
Mon âme a gardé tes témoignages, Et j’ai pour eux un grand amour.
J’ai gardé tes commandements et tes témoignages, Car toutes mes voies sont devant toi.

Psaume 119

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La lettre Shine représente la dent qui est un symbole de force vitale. Cette lettre symbolise l’esprit et l’énergie en mouvement et décrit l’action d’une force centrifuge.
Cette lettre rayonne par ses branches et montre l’expansion. Les trois branches du Shine représente l’âme : nefesh, roua’h et nechamah. Les trois têtes reliées montrent la distinction des unités.
Shine est le symbole de l’émotion, du but de la vie et de l’individualité.

Le Shine à trois branches symbolise les trois patriarches Abraham, Isaac et Jacob ; le Shine à 4 branches symbolise les quatre matriarches Sarah, Rivka, Rahêl et Léa.

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Resch

vendredi 12 août 2011
Regarde mon affliction et me délivre ; Car je n’ai point oublié ta loi.
Défends ma cause et me rachète ; Fais-moi vivre, selon ta parole !
Le salut est loin des méchants, Parce qu’ils ne recherchent point tes statuts.
Tes compassions sont en grand nombre, ô Eternel ! Fais-moi vivre, selon tes décrets.
Nombreux sont mes persécuteurs et mes adversaires ; Mais je ne m’écarte pas de tes témoignages.
J’ai vu les infidèles, et j’en ai horreur ; Ils n’observent pas ta parole !
Considère que j’aime tes commandements ; Eternel, fais-moi vivre, par ta bonté.
Toute ta parole est vérité, Et tous les décrets de ta justice sont éternels.
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Psaume 119
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La lettre rech est identifiée à roch, la tête ou le commencement (autioth de rabbi akiva). C’est aussi le sommet, l’humilité. Il représente le plus haut niveau en son genre. La courbure du rech montre un changement de direction offrant le choix entre l’élévation et la dégradation.
rech est le symbole de la pensée, de l’intellect, de l’énergie mentale, du déclenchement.
Le nom de la lettre « Resh », est un mot évoquant la pauvreté et la misère mais, par sa racine, dans le sens de « repartir de zéro ».
Mais le sens premier vient du mot « Resh » araméen signifiant ‘tête’ et qui correspond au mot hébreu « rosh », qui en plus de la signification « tête », évoque aussi le ‘principal » et le « plus haut en son genre ».
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Koph

jeudi 11 août 2011

Je crie du fond du cœur ; réponds-moi, Eternel ! Je garderai tes statuts.
Je crie à toi, sauve-moi ! Et je garderai tes témoignages.
Je devance l’aurore et je crie ; Je m’attends à tes paroles.
Mes yeux devancent les veilles de la nuit, Pour méditer ta parole.
Ecoute ma voix, selon ta bonté ; Eternel, selon les promesses de ta justice, fais-moi vivre !
Ils approchent, ceux qui courent au crime ; Ils se tiennent loin de ta loi.
Tu es proche, ô Eternel ! Et tous tes commandements ne sont que vérité.
Dès longtemps je sais par tes témoignages Que tu les as établis pour toujours.

Psaume 119

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Koph signifie à la fois « chas d’aiguille » et « singe ». C’est la destruction des illusions par la connaissance de la vraie lumière, son action est semblable à une arme tranchante qui accorde à l’homme le pouvoir de séparation entre le réel et l’illusoire.
Koph symbolise la spontaneïté, l’amour de la vie, la communauté.

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