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Archive pour la catégorie ‘Jardins de la Bible’

La saladelle

samedi 17 septembre 2011

Elle rappelle la bruyère fleurie.
Fleur emblématique des gardians, elle forme de vastes étendues colorant l’été camarguais de teintes mauves.
Au contact des terres plus basses, dès que la présence du sel se fait sentir la saladelle domine.
Elle a la particularité de rejeter le sel par la face inférieure de ses feuilles formant ainsi de petits cristaux que l’on peut aisément observer.

Union des hommes

jeudi 15 septembre 2011

Il n’est qu’un but à rechercher, celui de faire le trait d’union entre les hommes. C’est ce trait d’union qui permettra de sauver votre terre, qui permettra de sauver l’humanité. Ce n’est pas par le matériel ou les tentations du Malin que vous arriverez à reconnaître votre Père et à l’aimer. Ce n’est qu’un subterfuge que vous devez éviter, ce que vous ne pouvez réaliser que par une foi intense et un amour profond. N’ayez donc crainte, mais priez, priez, priez, souriez à la vie, fleurissez votre cœur, profitez des rayons du soleil pour faire une émergence vis-à-vis d’autrui et renvoyer cette chaleur qui vient de Dieu le Père.

Regardez autour de vous et vous réaliserez l’ampleur de l’Amour de Dieu sur cette terre. Regardez avec les yeux de votre cœur, profitez des éléments de la nature pour vous confondre avec Dieu le Père ; vous comprendrez par une chaleur intense et interne ce qu’est l’Amour que Dieu donne et ne demande en retour que le respect et l’amour d’un fils envers son Père. Protégez vos frères, donnez-leur la main, qu’ils avancent sur le même chemin, même s’il est chaotique, et même si l’illusion de certains de vouloir grandir est douloureux. Rien ne se fait sur deux pas mais sur tout un chemin. Pour gravir les marches de la connaissance, il faut savoir mettre un pied devant l’autre, tout ceci dans la pensée d’Amour et de Paix pour votre Père et vos frères. Il faut marcher, marcher, prier, et les portes s’ouvriront par votre amour, votre foi.

Marie Mère des hommes – juillet 2000

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Naturel

dimanche 11 septembre 2011

Mes enfants, en chaque jour que la nature soit un lieu de réconfort et de Paix en vos cœurs. Regardez-la, admirez-la et vous comprendrez la grandeur de Dieu au travers d’elle. Vous en serez réconfortés et le chemin s’éclaircira au-devant de votre marche.

Marie Mère des hommes -janvier 1998

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mardi 23 août 2011

Le Pommier et le Citronnier

jeudi 21 juillet 2011

Les vignes sont sans fruit, et les figuiers ont manqué, les grenadiers, et même les palmiers ; les Pommiers et tous les arbres des champs sont devenus secs ; c’est pourquoi la joie a cessé parmi les hommes. (Joël I, 12)

Un voyageur auquel les productions naturelles de la Palestine sont familières, serait surpris de trouver ici le Pommier cité avec le grenadier et le palmier, arbres tout à fait méridionaux.
En effet, le Pommier est rare en Syrie, et ses petits fruits y ont peu de goût et de parfum. Cependant on le cultive à Sidon et dans plusieurs endroits de la Palestine ; les meilleurs se trouvent dans les régions tempérées du Liban. Damas est aussi célèbre dans toute la Syrie pour ses Pommes.

C’est dans le Cantique des Cantiques qu’il est fait mention le plus fréquemment du Pommier ; il y est représenté comme le roi des arbres, au doux fruit, aux ombrages délicieux. Salomon compare une parole dite à propos à des Pommes d’or émaillées d’argent.

Ces descriptions, et la rareté du Pommier en Palestine, font généralement penser que le Pommier de l’Écriture était le Citronnier. Cet arbre (Citrus medica) appartient à la famille des Orangers ; il est remarquable par la beauté et le parfum de ses fleurs et de ses fruits, et il était fort estimé dans toute l’Antiquité. Quant à l’Oranger, il est originaire de l’Inde ou de la Chine, et ce n’est que beaucoup plus lard qu’il a été introduit en Orient et en Europe.

Les Citronniers sont toujours verts et chargés à la fois de fleurs et de fruits. Les plus beaux Citrons atteignent deux décimètres (8 pouces) de longueur. Ils ont une écorce spongieuse et une pulpe acide ; le tissu des feuilles est rempli de petites glandes contenant une huile très odoriférante. En Chine, on met des Citrons sur les tables, dans des plats de porcelaine, pour parfumer les appartements.
Une tradition populaire fait du fruit défendu qu’Ève cueillit au jardin d’Éden, soit une espèce de Citron, soit une Pomme ; inutile de dire qu’elle ne repose sur aucun fondement.

Quelques écrivains pensent que le bel arbre (Lév.XXIII, 40) dont les Israélites devaient prendre des fruits à la fête des Tabernacles, était le Citronnier. Rien ne prouve que celui-ci fût connu des Israélites dans le désert ; toutefois il est remarquable qu’on se servit de Citrons pour la même solennité du temps de Josèphe.

Aujourd’hui encore les Juifs continuent à manger des Citrons ou des confitures de Citrons dans leurs jours de fête.
Mc Cheyne et Bonar ont retrouvé cet usage chez les Juifs de Moldavie : « Nous logions, disent-ils, près de la rivière, dans une auberge tenue par un Juif ; il avait élevé devant sa porte une cabane avec des saules pris au bord de l’eau ; la fête des Tabernacles devait commencer dans la soirée suivante. Il nous montra sa branche de palmier, appelé Mab, et son beau fruit, appelé ezroch, qu’on suppose être celui du bel arbre dont il est parlé dans la Loi. C’était une espèce de Limon, qui ne vient à maturité qu’une fois tous les trois ans. On l’apporte d’Italie et de Palestine ; un seul, pour la fête, coûte quelquefois plus de cent écus. Notre hôte avait payé le sien vingt-cinq francs. »

La Sagesse

samedi 16 juillet 2011

Mes enfants, prenez le temps de vous recueillir et d’affermir votre foi. Priez, Priez, Priez et laissez-Nous agir pour votre bien. Laissez-Nous vous bercer de notre tendresse et amour, comme les branches des arbres sont bercées par le vent.

N’incitez jamais à l’erreur et recherchez en vous la sagesse, afin de ne pas fouler la terre d’autrui sans son consentement. Ne soyez pas triste d’un refus, mais acceptez cette épreuve comme preuve de votre évolution. Mes enfants viendront toujours plus, avec foi et amour. La sagesse fera bénéficier certains d’une évolution Divine importante et ils seront les premiers à prendre la tête du pèlerinage Divin.

Ayez confiance, mes enfants, Dieu le Père écoute et confirme votre avancée dans sa mission. Laissez le temps au monde pour s’ouvrir à la tolérance et la compréhension et fustigez-vous de ne pas montrer l’exemple en ces points.

Marie Mère des hommes – février 1995

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Rencontre en Ardouane

dimanche 10 juillet 2011

Ce lieu est sanctifié à jamais et vous y trouverez ce repos qui n’existe nulle autre part. Rien ne doit être fait par profit en ce lieu, et il ne devra jamais y avoir de commerce. La nature doit rester nature, les fleurs fleuriront, les arbres donneront de beaux fruits. Tout sera naturel et ce sera un havre de Paix pour tous les êtres qui y viendront.

En ce jour, certaines personnes dont le feu ronge leurs entrailles seront guéries ; ils ressentiront une chaleur intérieure, ils guériront. Dans ce lieu se feront des guérisons physiques et spirituelles. Des gens du monde entier viendront ici, mais ils viendront pour prier et se retrouver eux-mêmes. Les hommes, à l’heure actuelle, n’ont toujours pas compris le message d’Amour et de Paix. Je viens dans ce lieu depuis des années et je reviendrai dans l’éternité.

Priez pour tous ceux qui souffrent dans ce monde, que ce soit de la faim, de la guerre. Ayez un peu plus d’humilité afin de permettre à d’autres de vivre dans l’Amour et la Paix.

Tous les ans et le deuxième dimanche de juillet, une très grande réunion aura lieu ici. Ce sera un regroupement de jeunes, de gens plus âgés, de personnes plus âgées afin de mettre en commun leur Amour et leur Paix, afin qu’ils apprennent à se connaître et qu’ils apprennent à faire connaître autour d’eux  ce que c’est de ressentir l’Amour, la sérénité intérieure.

Vous êtes tous mes enfants, que j’aime de la même manière, quels qu’ils soient. Vous êtes les seuls à vous trouver des défauts et des qualités, vous créez vos erreurs comme vous créez vos moments de bonheur. Ayez confiance en autrui, ouvrez-lui votre cœur et vous me trouverez en chacun d’eux. C’est aujourd’hui qu’il faut vous serrer la main et vous embrasser, afin de montrer votre amour complice envers le Dieu, le Dieu de l’univers, envers mon Amour de Mère.

Vous êtes là pour vivre autre chose, tous et chacun, tels que vous êtes là, pour apporter quelque chose à autrui, un peu d’amour, un peu d’espoir, un peu de confiance, un peu de réconfort.  Il faut vous battre, vous battre dans cette voie et non dans ce but qui est celui, à l’heure actuelle, de gagner de l’argent, de renflouer les comptes, de partir en vacances, se faire bronzer. Votre vie sur terre n’est pas une vie matérielle, mais une vie d’évolution envers tous.

Marie Mère des hommes – juillet 1994

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Le sycomore

samedi 9 juillet 2011

Cet arbre est cité dans la Bible en même temps que l’olivier. Ils avaient tous les deux une valeur économique : huile pour l’olivier; le bois de construction pour le sycomore :

« Le roi (Salomon) fit qu’à Jérusalem l’argent était aussi abondant que les pierres, et les cèdres aussi nombreux que les sycomores du Bas-Pays. » (1 R 10,27 ss)

David nomma même un inspecteur spécial pour surveiller les oliviers et les sycomores des propriétés royales : Responsable des oliviers et des sycomores dans le Bas-Pays : Baal-Hanân, de Géder. Responsable des réserves d’huile : Yoash. (I Chro  27, 28)

« Je n’étais pas prophète, je n’étais pas fils de prophète, j’étais bouvier, je traitais les sycomores ; mais le Seigneur m’a pris de derrière le bétail et le Seigneur m’a dit: Va ! prophétise à Israël mon peuple !» (Am 7,14-15)

Un Psaume évoque aussi le sycomore en mentionnant ce qui peut le détruire : « Il ravage leurs vignes par la grêle, leurs sycomores par le gel .» (Ps 78,47)

« Les briques sont tombées, nous bâtirons en pierres de taille, les sycomoressont abattus, nous mettrons des cèdres à la place. » (Is 9,9)

Jésus dit à ses  disciples :« Si vraiment vous aviez de la foi gros comme une graine de moutarde, vous diriez à ce sycomore : «Déracine-toi et va te planter dans la mer», et il vous obéirait.» (Lc 17,6).   Vu sa taille, un sycomore n’est pas un arbre facile à déraciner !

Zachée, un homme de petite taille,« cherchait à voir qui était Jésus, mais ne le pouvait à cause de la foule, car il était petit de taille …monta sur un sycomore pour voir Jésus, qui devait passer par là » (Luc 19,1-4)

 

Mourir

jeudi 30 juin 2011

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Jésus se tourne vers Simon: “Vois-tu l’œuvre de la puissance des Ténèbres? Comme une araignée, elle tend son piège, englue et emprisonne celui qui ne sait pas mourir pour renaître papillon, assez fort pour déchirer la toile ténébreuse et passer outre, emportant en souvenir de sa victoire des lambeaux de la toile tout éclairés sur ses ailes d’or, comme des oriflammes et des étendards pris à l’ennemi. Mourir pour vivre. Mourir pour vous donner la force de mourir. Viens Simon te reposer, et que Dieu soit avec toi.” Tout prend fin.

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Extrait de la Traduction de “L’évangile tel qu’il m’a été révélé” de Maria Valtorta ©Centro

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La sauge

mardi 7 juin 2011

La chaleur augmente en Israël à partir de Pâque (Pessah) et atteint son maximum au moment de la moisson du blé à la Pentecôte (Shavouot).

Beaucoup parmi les  plantes moriah ont un parfum spécial qui s’exhalent à la chaleur du jour quand le soleil est au zénith et donne le plus de lumière et de chaleur.

Du mois de février au mois de mai, on peut voir différentes espèces de moriah (sauge) en fleurs. Si on regarde de près ces plantes, quand elles sont en fleur (et pour certaines espèces même après leur floraison) on peut voir que leurs branches sont placées comme celles de la Menorah, le chandelier à 7 branches qui était dans le temple de Jérusalem.

Dieu a demandé à Moïse  de réaliser un chandelier d’or pur, d’une seule pièce, chandelier devant être placé dans le  Sanctuaire de la Tente du Rendez-vous dans le désert, pour témoigner de Sa relation permanente et réciproque entre Lui et le peuple. « Il fit le candélabre d’or pur. D’or repoussé, il fit le candélabre, base et son fût…« (Ex 37,17 ss)

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