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Archive pour la catégorie ‘Jardins de la Bible’

Louange

samedi 4 juin 2011

vendredi 3 juin 2011

C’est le temps de l’éclosion des fleurs et vous êtes unis comme un parterre fleuri qui attire l’œil par sa beauté et sa senteur. Les gens s’ouvriront à cette beauté pour accomplir l’ascension auprès de mon Fils, et l’eau des cascades alpestres irriguera de douceur votre soif de connaissance. Vous serez dans l’illumination de la connaissance et du partage auprès de vos frères. Soyez humbles et repentants en accord avec la grâce Divine qui vous est accordée. Soyez attentifs à mes paroles, le doute n’existe pas en ma parole et celle de la Sainte Trinité, vous êtes garants de celle-ci et je vous apporte confirmation en ces temps présents de ce don immuable. Celui-ci vous est alloué par la très grande Miséricorde de Dieu le Père. Soyez aimants et souriants auprès de votre prochain et en chaque occasion  de la vie et même dans la peine car Dieu vous soutient plus encore dans la douleur de la vie pour vous soulager et vous transmet la clairvoyance. Ne soyez triste en ce jour mais, au contraire, soyez souriant car je suis présente à vos côtés et vous le ressentirez.

……;..;.,,,,,;;.;.Marie Mère des hommes – mai 2010

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Fête des mères

dimanche 29 mai 2011

Mes enfants, vous êtes dans le mois du renouveau et de l’ouverture de la nature, accordez-vous le temps de vous reposer sur elle et de vous ouvrir entièrement à l’Amour et la Paix. La nature est un bienfait de Dieu le Père, mais c’est aussi le reflet de l’homme dans son évolution. Mais aujourd’hui, il sacrifie cette aire de repos et de contemplation en un décor burlesque pour assouvir son besoin de suprématie sur tout. Les fleurs, reflet du sentiment humain d’amour, parfum de l’espérance et de la joie de vivre, cherchent avec souffrance leur lieu d’éclosion. C’est une souffrance infligée au Cœur Sacré de mon Fils et Il vous demande plus de soins et de respect envers la nature qui vous entoure.

Mes enfants, les temps sont durs pour l’homme et surtout les plus fragiles. Priez, priez, priez pour soulager la souffrance des hommes dans la perte d’êtres chers. Que  d’avertissements sont donnés et bien peu écoutés. La surdité et l’aveuglement font partie des maux humains ; votre Médecin, vous Le connaissez et vous ne L’appelez pas.

Mes enfants, soyez attentifs aux mères, car beaucoup d’entre elles sont déchirées dans leur cœur par la perte d’un enfant ou de plusieurs. Soyez protecteurs des mères, accompagnez-les et préservez-les car elles sont l’avenir des hommes, actrices en premier lieu dans la souffrance et l’immense joie de procréer.

Mes enfants, priez pour tous et ouvrez-vous à l’attente de Mon Fils pour les hommes. Priez pour l’union des hommes en Dieu le Père.

Marie Mère des hommes – mai 2008

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Le câprier

mardi 17 mai 2011

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En Israël, entre Tel-Aviv et Jérusalem, il existe un parc de paysages bibliques qui présente tout le cadre écologique de la flore et de la faune de la Bible un  jardin :  Neot Kedumim –  JARDINS D’ISRAEL.

En Israël, entre Tel-Aviv et Jérusalem, il existe un parc de paysages bibliques qui présente tout le cadre écologique de la flore et de la faune de la Bible un  jardin :  Neot Kedumim –  JARDINS D’ISRAEL.

L’emblème de NEOT KEDUMIM est le caprier, arbrisseau très robuste qui se développe dans les climats les plus arides et les plus rudes. Il pousse sur les murettes, s’enfonce entre les roches. Il pousse même entre les immenses blocs de pierre du Mur occidental à Jérusalem, mur de soutènement du Temple que les romains pensaient avoir détruit entièrement.Par ses racines profondes et son tronc résistant il peut continuer à pousser même après avoir été coupé un certain nombre de fois. Aussi cet arbrisseau symbolise la survie et la continuité du Peuple d’Israël.

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Dimanche des rameaux

dimanche 17 avril 2011

Evangile de Jésus Christ selon St Jean 12, 12-19.

Six jours avant la Pâque, Jésus arriva à Béthanie, où était Lazare, qu’il avait ressuscité des morts. Là, on lui fit un souper; Marthe servait, et Lazare était un de ceux qui se trouvaient à table avec lui. Marie, ayant pris une livre d’un parfum de nard pur de grand prix, oignit les pieds de Jésus, et elle lui essuya les pieds avec ses cheveux; et la maison fut remplie de l’odeur du parfum. Un de ses disciples, Judas Iscariot, fils de Simon, celui qui devait le livrer, dit: Pourquoi n’a-t-on pas vendu ce parfum trois cents deniers, pour les donner aux pauvres? Il disait cela, non qu’il se mît en peine des pauvres, mais parce qu’il était voleur, et que, tenant la bourse, il prenait ce qu’on y mettait. Mais Jésus dit: Laisse-la garder ce parfum pour le jour de ma sépulture. Vous avez toujours les pauvres avec vous, mais vous ne m’avez pas toujours. Une grande multitude de Juifs apprirent que Jésus était à Béthanie; et ils y vinrent, non pas seulement à cause de lui, mais aussi pour voir Lazare, qu’il avait ressuscité des morts. Les principaux sacrificateurs délibérèrent de faire mourir aussi Lazare, parce que beaucoup de Juifs se retiraient d’eux à cause de lui, et croyaient en Jésus. Le lendemain, une foule nombreuse de gens venus à la fête ayant entendu dire que Jésus se rendait à Jérusalem, prirent des branches de palmiers, et allèrent au-devant de lui, en criant: Hosanna! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur, le roi d’Israël! Jésus trouva un ânon, et s’assit dessus, selon ce qui est écrit:

Ne crains point, fille de Sion;

Voici, ton roi vient,

Assis sur le petit d’une ânesse.

Ses disciples ne comprirent pas d’abord ces choses; mais, lorsque Jésus eut été glorifié, ils se souvinrent qu’elles étaient écrites de lui, et qu’ils les avaient accomplies à son égard.

Tous ceux qui étaient avec Jésus, quand il appela Lazare du sépulcre et le ressuscita des morts, lui rendaient témoignage; et la foule vint au-devant de lui, parce qu’elle avait appris qu’il avait fait ce miracle.

Vers le site de Maria Valtorta

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« Je bâtis une cathédrale. »

jeudi 7 avril 2011

Vers 1163, un nouvel arrivant à Paris entend un bruit régulier, comme quelqu’un qui frappe sans arrêt un objet dur. Il suit le bruit et découvre un grand chantier auquel trois hommes travaillent.

Il se dirige vers le premier qui travaille dur un morceau de pierre à l’aide d’un outil et lui demande ce qu’il fait. L’autre lui répond, visiblement agacé : « Je suis un tailleur de pierre, tu le vois bien ce que je fais, je taille des pierres ! »

Il en voit un second occupé à la même tâche et lui pose la même question, à laquelle celui-ci répond aimablement: « Je taille la pierre angulaire d’une arche de voûte ».

Finalement, il interroge de la même manière un troisième. Ce dernier lui répond d’un ton enthousiaste : « Moi, monsieur, je suis tailleur de pierre et je bâtis une cathédrale ! »

Ce dernier avait, lui, trouvé un sens à ses gestes, la construction de… Notre-Dame de Paris !

 

Sous le chêne

mercredi 6 avril 2011

Alors mourut Débora, la nourrice de Rebecca ; elle fut ensevelie sous un Chêne appelé Allonbacuth (c’est-à-dire, le Chêne des larmes.) (Gen. 35, 8).

Les Chênes de nos contrées dont rien n’entrave la croissance, parviennent à une taille majestueuse et sont comme des arbres géants à côté des autres ; en Palestine, on les retrouve, il est vrai, formant de beaux bois et de jolis bosquets sur les collines et les montagnes, mais chaque arbre, pris individuellement, est loin d’égaler le roi de nos forêts.
Plusieurs localités de la Terre-Sainte, parsemées de nombreux bouquets de Chênes toujours verts, ont la riche apparence d’un parc de nos contrées. Ces arbres sont groupés en assez grand nombre sur les hauteurs qui environnent Hébron, mais c’est sur les collines de Basçan, célèbres dans la Bible, que le Chêne est le plus vigoureux et le plus beau.
Burckhardt se réjouissait en approchant des ombrages épais fournis par les Chênes de Basçan et de Galaad. Esaïe (II, 12-13) fait allusion a ces lieux : II y a un jour assigné par l’Éternel des armées contre tous les orgueilleux et les hautains, contre tout homme qui s’élève, et il sera abaissé, et contre tous les cèdres du Liban hauts et élevés, et contre tous les Chênes de Basçan, et Zacharie (XI, 12) dit : Chênes de Basçan, hurlez, car la forêt qui a été comme une place forte a été coupée.

Il y a deux mots hébreux différents que nos traducteurs ont rendus par Chêne ; mais il a été prouvé que l’un d’eux se rapporte au Térébinthe. Le mot Allon est évidemment le Chêne.

Le docteur Royle cite cinq espèces de Chêne communes en Palestine ; mais, ainsi qu’il le fait remarquer, la fréquente mention du Chêne dans nos Saintes-Écritures porterait à conclure que cet arbre était plus abondant dans les campagnes de Canaan autrefois qu’aujourd’hui.

Le Chêne vert ou Yeuse (Quercus Ilex) se trouve dans l’Asie occidentale et dans l’Europe méridionale. Une de ses variétés donne des fruits doux, mangeables ; c’est peut-être là le gland cité par les auteurs classiques comme nourriture des habitants primitifs de la Grèce.
Le Chêne à feuilles de houx (Quercus pseudococcifera) a été considéré comme une simple variété de l’yeuse, mais il y a une différence notable dans le port de ces deux arbres.

Le grand Chêne à cupules épineuses (Quercus Aegilops) se présente fréquemment a la vue du voyageur qui parcourt les collines de Juda. Il est quelquefois appelé Chêne à barbe de chèvre, a cause des lichens longs et pendants qui souvent abondent sur ses branches.

Le Quercus Ithaburensis ou Chêne du Thabor appartient aussi à la Palestine ; il n’est pas de haute taille, mais ses feuilles sont très grandes et d’un vert magnifique.

Il n’y a plus à citer pour la Terre-Sainte que le Chêne Kermès (Quercus coccifera), mais les botanistes en ont encore décrit plusieurs espèces, dont le nombre s’augmentera certainement plus tard. Le Chêne Kermès est remarquable, parce qu’il nourrit le Kermès (Coccus Ilicis), petit insecte qu’on trouve en quantité sur ses bourgeons. Cet animal était la seule substance qui servît à teindre en écarlate depuis l’époque où l’on perdit l’usage de la pourpre, célèbre couleur citée dans la Bible et tirée d’un coquillage des côtes de la Phénicie. Plus tard, l’un et l’autre furent remplacés par l’insecte du Cochenillier d’Amérique.

Le Chêne Kermès est un arbrisseau de petite taille et toujours vert ; les insectes qu’il nourrit sont encore utilisés par les indigènes du Levant, de la Barbarie et d’autres contrées, mais ils sont fort peu employés pour la teinture dans les pays du Nord. Cet arbuste couvre les collines de la France méridionale et de l’Espagne, et bien des habitants du royaume de Murcie n’ont pas d’autre métier que de recueillir le Kermès pour les teinturiers.

Les desseins de Dieu

mercredi 30 mars 2011

Sur une colline, dans une forêt, trois arbres poussaient tout à côté l’un de l’autre. Un jour, ils discutaient ensemble sur l’espérance de leur devenir, et de leurs rêves. Le premier dit : « Je souhaite devenir un coffre à trésor. Je pourrais contenir de l’or, de l’argent et plusieurs pierres précieuses. Je serais décoré d’une sculpture élégante et tout le monde en apprécierait la beauté ».

Le second arbre dit : « Moi je souhaite être utilisé à construire un paquebot. Je transporterais rois et reines sur les eaux dans tous les coins du monde. Tous seraient en sécurité compte tenu de la résistance de ma coque ».

A son tour, le troisième dit : « Je souhaite grandir et devenir le plus grand arbre, le plus droit des arbres de la forêt. Ainsi les gens me verraient au sommet de la colline et en regardant mes branches, penseraient à Dieu en me voyant très proche de Lui. De tous les temps, je serais le plus grand de tous les arbres et tout le monde se souviendrait longtemps de moi ».

Plusieurs années passèrent et toujours les arbres espéraient voir leurs rêves se réaliser. Or un bon jour, un groupe de bûcherons vinrent près des arbres.

3_arbres

Un bûcheron s’approcha du premier arbre et dit : « Celui-ci semble être un arbre fort. Je crois pouvoir vendre le bois à un ébéniste », et il commença à le couper. L’arbre fut heureux car il croyait que l’ébéniste saura le transformer en un coffre à trésor.

A l’arbre suivant le bûcheron dit : « Cet arbre semble un arbre très fort. Je pourrai le vendre à un fabricant de bateau ». Le second arbre était heureux en se voyant en passe de devenir un puissant paquebot.

Quand les bûcherons arrivèrent au troisième arbre, l’arbre fut effrayé parce qu’il se disait que : « Si on me coupe, mes rêves ne se réaliseront jamais ». Un des bûcherons dit : « Je n’ai besoin de rien de spécial pour mon arbre. Je prendrai malgré tout celui-ci ». Et il le coupa.

Quand le premier arbre arriva chez l’ébéniste, il fut transformé en morceaux de bois pour en faire une mangeoire pour animal. Celle-ci fut placée dans une grange et remplie de foin. C’était de loin ce que l’arbre avait rêvé de devenir…

Le second arbre fut coupé en pièces pour la construction de petits bateaux de pêche. Son rêve d’être un majestueux paquebot et de transporter des rois s’est résolument évanoui.

Le troisième arbre fut taillé en de larges pièces et placées seules dans le noir.

Les années passèrent et les trois arbres oublièrent leur rêve, lorsqu’un jour, un homme et une femme vinrent dans la grange. La femme donna naissance à un bébé et avec son époux déposèrent le poupon sur le foin dans la mangeoire faite du bois du premier arbre. L’homme aurait bien désiré avoir un berceau pour le bébé mais la mangeoire fit l’affaire. L’arbre ressentit l’importance de l’événement et comprit qu’il venait d’accueillir le plus grand trésor de tous les temps.

Quelques années plus tard, un groupe d’hommes était dans un bateau de pêche fabriqué avec le bois du second arbre. Un homme du groupe était fatigué et s’endormit. Quand ils furent éloignés de la rive, un grand orage survint, l’arbre ne croyait pas être assez fort pour assurer la sécurité aux membres de l’équipe. Les hommes réveillèrent celui qui dormait, il se leva et il dit « Paix » et la tempête s’arrêta. A ce moment l’arbre comprit qu’il transportait le Roi des Rois dans son bateau.

Finalement, quelqu’un vint et prit le troisième arbre. On le transporta à travers les rues de manière que les gens se moquèrent de celui qui le transportait. Quand il arriva au but, l’homme fut cloué à l’arbre et élevé dans les airs pour mourir au sommet d’une colline.

Le dimanche suivant, l’arbre réalisa qu’il fut assez fort pour se tenir au sommet de la colline et fut aussi près de Dieu qu’il fut possible de l’être. Jésus a été crucifié sur lui.

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La morale de cette histoire est que lorsque les choses ne semblent pas se dérouler selon nos desseins, il faut toujours être certain que Dieu a un plan défini pour chacun de nous. Si on place notre espérance en Lui, Il nous comblera de grands cadeaux.

Chacun de ces arbres a obtenu ce qu’il espérait mais pas nécessairement à l’image qu’il s’était faite. Nous ne connaissons pas les plans de Dieu sur nous. Nous savons seulement que Ses Plans ne sont pas les nôtres et que Ses Chemins sont toujours les meilleurs.

Ruisseau d’amour

mardi 29 mars 2011

Je suis votre Mère à tous, celle qui vous apporte les joies d’une mère aimante. Je fais couler devant vous le ruisseau d’amour, cette eau fraîche, cette eau qui vous lave de tous pêchés. Suivez ce ruisseau, allez jusqu’au lac, ce fameux lac où mon Fils sera pour vous recevoir, et vous bénir au travers de cette eau sacrée, l’eau de l’Espérance, celle qui apporte l’Amour et la Paix. Venez à cette cascade de l’Intelligence Divine, celle qui fera couler sur votre corps les gouttelettes de l’Amour, ces gouttes savoureuses de l’Espérance. Tout sera odoriférant, tout autour de vous ne sera qu’Amour et Paix.

Marie Mère des hommes – août 2008

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Nature et vie

lundi 21 mars 2011

Mes enfants,

Quelques mots pour vous demander en ces temps où se prépare l’ouverture de la nature à la vie, l’effervescence de la montée de la sève en tous et toute nature, (ceci étant le reflet de l’Amour Divin pour ses enfants, sensibilité approfondie qui réchauffe les entrailles de tous et de toute chose), d’être les jardiniers de mon Fils. Entretenez Sa terre avec chaleur et amour, et elle vous apportera les plus belles fleurs (aux senteurs inconnues et inoubliables) et les plus beaux fruits (nectar en leur goût, délices en vos cœurs, vivacité en vos êtres, engendrant en votre sein débordement d’Amour et de Paix en autrui).

Mes enfants, préservez le jardin de mon Fils pour que viennent paître toutes les brebis sans restriction.

Je suis Marie Mère des hommes, servante de la Sainte Trinité ; la grâce dont elle me revêt n’est que bienfait en vos cœurs. Servante, je vous conduirai et ferai visiter le Jardin en l’absence définitive du serpent.

Merci de me lire

Marie Mère des hommes – février 2010

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