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Archive pour le mot-clef ‘Amour’

La foi transporte des montagnes

vendredi 12 novembre 2010

Vous voulez connaître, vous voulez écouter, vous voulez guérir ; tout ceci se fera à l’intérieur de la foi, de la foi en mon Fils, de la foi en Dieu le Père ; mais il faut ouvrir votre cœur ; ouvrez votre cœur, Dieu est en vous, mon Fils est en vous. Mes enfants, le monde est ce qu’il est ; même s’il doit péricliter, il ne mourra pas demain, même si des séismes terrestres, politiques et autres vont arriver. Ceux qui auront foi resteront. Vous êtes petits ici, d’autres sont plus importants ailleurs. Mais la maison de mon Fils est ouverte à tout le monde et personne ne peut la fermer alors. Ma maison est la maison de mon Fils, cette maison est la maison de l’Amour et de la Paix. Si un jour problème est en vous, venez vous réfugier près de mon Fils, venez près de son tabernacle, là où est Son Cœur et là alors Il vous apportera tout Son Amour, toute Sa Joie.

Marie Mère des hommes – février 1998

Fille de l’Eglise

mercredi 3 novembre 2010

Je suis Marie Mère des hommes, servante du Seigneur et triste pour la France, offrande faite en mon nom et dont j’ai promis la préservation et le secours aux hommes de bonne volonté. L’homme de France se comporte au sommet de son égoïsme et renie les propres valeurs qu’il s’est instaurées pour un équilibre de joie et d’amour. Le malin a conscience de sa faiblesse et agit afin de déstabiliser ce pays cher à mon cœur dont la souffrance augmente dans le temps. Mais le Père Eternel va stimuler cette inertie d’amour et de paix et infliger la peine aux actes du malin.

Priez, Priez, Priez, pour les conversions et surtout pour que la France renaisse dans l’Eglise de mon Fils. En ce point, je vais donner des signes.

Marie Mère des hommes – octobre 2010

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Sacré Coeur de Jésus

lundi 7 juin 2010

Mes enfants, il vous faut prendre le temps de contempler et d’aimer le Cœur Sacré de mon Fils. Au travers de cette vision et de ce ressentiment de souffrance, vous comprendrez le juste chemin de votre vie, vie d’amour et de dévotion pour que ce Cœur sanglant se cicatrise de toutes les peines humaines qui Lui sont infligées.

Marie Mère des hommes – octobre 1999

Solennité de la Sainte Trinité

samedi 29 mai 2010

26Mais le consolateur, l’Esprit Saint, que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que je vous ai dit. 27Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre coeur ne se trouble point, et ne s’alarme point.(Jn, 14)

« Mes frères, Je viens à vous pour vous apporter la foi dans l’Amour Divin, vous devez venir vous imbriquer dans mon Cœur afin que Je vienne envahir de bonté, d’Amour le vôtre. Vous ne pouvez rien sans Dieu le Père et la Trinité, tous, êtres et choses étaient, sont et viendront de Lui, sachez donc Le voir partout et en tout, ainsi vos yeux seront illuminés et clairvoyants, vous pourrez dire j’ai vu et j’ai cru. »

Jésus de Nazareth – Message d’avril 2005

Septième dimanche de Pâques

samedi 15 mai 2010

À l’heure où Jésus passait de ce monde à son Père, les yeux levés au ciel, il priait ainsi : « Je ne prie pas seulement pour ceux qui sont là, mais encore pour ceux qui accueilleront leur parole et croiront en moi. Que tous, ils soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et moi en toi. Qu’ils soient un en nous, eux aussi, pour que le monde croie que tu m’as envoyé. Et moi, je leur ai donné la gloire que tu m’as donnée, pour qu’ils soient un comme nous sommes un : moi en eux, et toi en moi. Que leur unité soit parfaite ; ainsi, le monde saura que tu m’as envoyé, et que tu les as aimés comme tu m’as aimé. Père, ceux que tu m’as donnés, je veux que là où je suis, eux aussi soient avec moi, et qu’ils contemplent ma gloire, celle que tu m’as donnée parce que tu m’as aimé avant même la création du monde. Père juste, le monde ne t’a pas connu, mais moi je t’ai connu, et ils ont reconnu, eux aussi, que tu m’as envoyé. Je leur ai fait connaître ton nom, et je le ferai connaître encore, pour qu’ils aient en eux l’amour dont tu m’as aimé, et que moi aussi, je sois en eux.»

Cinquième dimanche de Pâques

lundi 3 mai 2010

Evangile de Jésus Christ selon St Jean (13, 31-35)

Au cours du dernier repas que Jésus prenait avec ses disciples, quand Judas fut sorti, Jésus déclara : « Maintenant le Fils de l’homme est glorifié, et Dieu est glorifié en lui. Si Dieu est glorifié en lui, Dieu en retour lui donnera sa propre gloire ; et il la lui donnera bientôt. Mes petits enfants, je suis encore avec vous, mais pour peu de temps. Je vous donne un commandement nouveau : c’est de vous aimer les uns les autres. Comme je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous les uns les autres. Ce qui montrera à tous les hommes que vous êtes mes disciples, c’est l’amour que vous aurez les uns pour les autres. »

M’aimes-tu ?

lundi 19 avril 2010

« L’Amour avec un grand « A » est une faveur Divine et un consentement à l’acceptation d’autrui. Mes enfants, vous ne pouvez vous préjuger à l’heure actuelle de cet Amour. Votre amour est terrestre et humain, acceptez-vous humblement de votre peu de valeur et surtout de votre manque de foi. Je suis à vos côtés dans l’amertume de votre évolution, mais je suis surtout à vos côtés dans l’Amour d’autrui. Mon cœur est en vous et je répands sur cette terre un flot toujours plus ardent  de larmes afin de sauvegarder le sacrifice de mon Fils, donc celui des hommes. Vous êtes aussi mes fils, et par cela, j’accède à la Volonté Divine afin de consacrer l’éternité à l’élaboration de l’homme empli d’Amour et de Paix, tout ceci dans le tabernacle du Père Céleste. »

Marie Mère des hommes -octobre 1994

Prière et jeûne

mercredi 17 mars 2010

« Mes enfants, aimez-vous les uns les autres, comme le Christ l’a démontré par Sa venue sur terre et le Don de Soi offert en prévision de votre incompréhension. »

Marie Mère des hommes – août 1994

« Venez prier et jeûner au pied du calvaire, vous serez sauvés par le sang de mon Fils. »

Marie Mère des hommes – août 1995

Père de Miséricorde

dimanche 14 mars 2010

Cliquer sur l'image pour accéder à la globalité de l'Encyclique "Dives in Misericordia".

Dans l’enseignement du Christ lui-même, cette image, héritée de l’Ancien Testament, se simplifie et en même temps s’approfondit. Cela est peut-être évident surtout dans la parabole de l’enfant prodigue 62, où l’essence de la miséricorde divine – bien que le mot «miséricorde» ne s’y trouve pas – est exprimée d’une manière particulièrement limpide. Cela vient moins des termes, comme dans les Livres vétéro-testamentaires, que de l’exemple employé, qui permet de mieux comprendre le mystère de la miséricorde, ce drame profond qui se déroule entre l’amour du père et la prodigalité et le péché du fils.

… /…

Dans la parabole de l’enfant prodigue on ne trouve pas une seule fois le terme de «justice» ni même, dans le texte original, celui de «miséricorde». Toutefois, le rapport de la justice avec l’amour, qui se manifeste comme miséricorde, s’y inscrit avec une grande précision. Il apparaît clairement que l’amour se transforme en miséricorde lorsqu’il faut dépasser la norme précise de la justice, précise et souvent trop stricte. Une fois dépensés les biens reçus de son père, l’enfant prodigue mérite – après son retour – de gagner sa vie en travaillant dans la maison paternelle comme mercenaire, et de retrouver éventuellement peu à peu une certaine quantité de biens matériels, mais sans doute jamais autant qu’il en avait dilapidés. Voici ce qui serait exigé dans l’ordre de la justice, d’autant plus que ce fils avait non seulement dissipé la part d’héritage lui revenant, mais en outre touché au vif et offensé son père à cause de sa conduite. Celle-ci, qui de son propre aveu l’avait privé de la dignité de fils, ne pouvait pas être indifférente à son père, qui devait en souffrir et se sentir mis en cause. Et pourtant il s’agissait en fin de compte de son propre fils, et aucun comportement ne pouvait altérer ou détruire cette relation. L’enfant prodigue en est conscient; et c’est précisément cette conscience qui lui montre clairement sa dignité perdue et lui fait juger correctement de la place qui pouvait encore être la sienne dans la maison de son père.

Jean Paul 2, extrait de l’Encyclique « Dives in Misericordia »

Quatrième dimanche

samedi 13 mars 2010

Seconde lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens (2Co 5, 17-21)

Frères, si quelqu’un est en Jésus Christ, il est une créature nouvelle. Le monde ancien s’en est allé, un monde nouveau est déjà né. Tout cela vient de Dieu : il nous a réconciliés avec lui par le Christ, et il nous a donné pour ministère de travailler à cette réconciliation. Car c’est bien Dieu qui, dans le Christ, réconciliait le monde avec lui ; il effaçait pour tous les hommes le compte de leurs péchés, et il mettait dans notre bouche la parole de la réconciliation. Nous sommes donc les ambassadeurs du Christ, et par nous c’est Dieu lui-même qui, en fait, vous adresse un appel. Au nom du Christ, nous vous le demandons, laissez-vous réconcilier avec Dieu. Celui qui n’a pas connu le péché, Dieu l’a pour nous identifié au péché des hommes, afin que, grâce à lui, nous soyons identifiés à la justice de Dieu. Frères, si quelqu »un est en Jésus Christ, il est une créature nouvelle. Le monde ancien s »en est allé, un monde nouveau est déjà né Frères, nous sommes les ambassadeurs du Christ, et par nous c »est Dieu lui-même qui, en fait, vous adresse un appel. Au nom du Christ, nous vous le demandons, laissez-vous réconcilier avec Dieu.