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Archive pour le mot-clef ‘Feu’

Dernier jour de la neuvaine

lundi 28 mai 2012

« Je suis avec vous jusqu’à la fin de ce monde. »

Je vous offre mon cœur, tout froid qu’il est, et je vous supplie d’y faire entrer un rayon de votre lumière et une étincelle de votre feu, pour fondre la glace si dure de ces iniquités. Vous qui avez rempli d’immenses grâces l’âme de la Bienheureuse Vierge Marie, et enflammé d’un saint Zèle les Cœurs des Apôtres, daignez aussi embraser mon cœur. – Vinum non habent. Que la Bienheureuse Vierge Marie qui a obtenu le vin de l’Amour infini, nous obtienne le vin de l’Amour infini, qui enivra d’extases les Apôtres le saint jour de la Pentecôte.

Que le Saint-Esprit, par Marie, suscite de nouveaux apôtres enivrés de l’amour de Jésus-Christ. Vous êtes un Esprit divin, fortifiez-moi contre les mauvais esprits ; vous êtes un Feu, allumez en moi le feu de votre amour ; vous êtes une lumière, faites-moi connaître les choses éternelles ; vous êtes une Colombe, donnez-moi des mœurs pures ; vous êtes un Souffle plein de douceur, dissipez les orages que soulèvent en moi mes passions ; vous êtes une Langue, enseignez-moi la manière de vous louer sans cesse ; vous êtes une Nuée, couvrez-moi de l’ombre de votre protection. Auteur de tous les dons célestes, ah ! Je vous en conjure, vivifiez-moi par votre grâce, sanctifiez-moi par votre charité, gouvernez-moi par votre sagesse, adoptez-moi pour votre enfant et sauvez-moi par votre infinie miséricorde, afin que je ne cesse jamais de vous bénir, de vous louer et de vous aimer, d’abord sur la terre pendant ma vie, et ensuite dans le Ciel durant l’éternité.

– Ainsi soit-il !

Ajouter à cette prière Un Pater, un Ave, et trois Gloria Patri.

 

Enseigner par Marie

vendredi 25 mai 2012
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Le retour de Jésus en gloire
sera précédé d’un temps de Pentecôte,
d’un temps de l’Esprit-Saint et de Marie.
Comme Dieu s’est fait homme par Marie,
c’est aussi par elle
qu’Il achèvera son oeuvre.
Des apôtres se lèveront,
formés par Marie,
assidus à son enseignement.
Comme un feu brûlant
ils enflammeront le monde
de l’Amour Divin.
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Saint Louis-Marie de Montfort
1673-1716
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L’Esprit de Dieu… comme une colombe

mercredi 23 mai 2012

L’image de la colombe pour figurer l’Esprit Saint nous est devenue tellement familière qu’elle nous semble aller de soi. L’iconographie occidentale l’a utilisée de manière à peu près exclusive et les images différentes nous surprennent: qu’on pense, par exemple, à la célèbre icône dite de la Trinité de Roublev (XIVe-XVe siècle), où les personnes divines sont représentées par trois personnages d’apparence humaine, munis d’ailes!

Le Nouveau Testament emploie plusieurs représentations différentes pour parler de l’Esprit de Dieu, de sa présence et de son action. À part l’image familière de la colombe, qui n’apparaît que dans l’épisode du baptême de Jésus (Mt 3,16Mc 1,10Lc 3,22Jn 1,32), nous trouvons également le vent: Jn 3,8Ac 2,2, et le souffle: Jn 20,22; le feu: Ac 2,3; l’eau vive: Jn 7,38-39; le paraclet (le conseiller l’avocat de la défense): Jn 14, 6-1716,7ss; le tremblement de terre: Ac 4,31. Par ailleurs les auteurs du Nouveau Testament ne disent pas – on a parfois tendance à l’oublier – que l’Esprit était dans la colombe ou dans le feu ou dans quelque autre élément; ce ne sont là que des termes de comparaison; les quatre évangélistes écrivent: comme une colombe, et, lorsqu’il parle de l’Esprit de la Pentecôte, Luc emploie l’expression: des langues comme du feu (Ac 2,3).

L’image de la colombe pour représenter l’Esprit de Dieu ne vient pas directement de l’Ancien Testament, mais on peut en retrouver les sources dans certaines expressions. Se réfugier à l’ombre des ailes de Dieu est devenu une expression littéraire courante de la confiance en Dieu. Mais, en même temps, elle évoque l’image d’un Dieu ailé, ce qui ne doit pas surprendre dans le contexte des représentations divines de l’ancien Orient. On trouve cette formule dans de nombreux psaumes: Ps 17,8; 36,8; 57,2; 61,5; 63,8; 91,4, ainsi qu’en Rt 2,12. On connaît également l’image de Dieu chevauchant les Kerubim et volant sur les ailes du vent: 2 S 22,11 = Ps 18,11; voir aussi Ps 104,3. Ce sont là des manières poétiques d’exprimer le fait que Dieu n’est pas soumis, comme les humains, aux lois de la pesanteur et qu’il peut intervenir, avec une absolue liberté, à travers toute sa création.

D’un autre côté, Gn 1, nous dit qu’au commencement du monde l’Esprit de Dieu planait sur les eaux. Cette expression suggéra aux penseurs juifs postérieurs que l’Esprit de Dieu pouvait être figuré par un oiseau (voir Dt 32,11). Dans cette même ligne de réflexion, certains auteurs de la période talmudique parleront des « ailes de la Shekina » pour désigner la Providence, et « se réfugier sous les ailes de la Shekina » signifiera: se convertir au judaïsme.

À ma connaissance, nous ne possédons aucun témoignage attestant l’idée de la colombe comme image de l’Esprit de Dieu, en dehors des évangiles et des textes qui en dépendent. Nous voyons cependant que cette idée s’inscrit dans un courant de pensée très vivant à l’intérieur du judaïsme, déjà au temps de Jésus et encore longtemps après lui. Il est possible que le choix de la colombe de préférence à un autre oiseau, dépende de Gn 8,8-12: à la fin du déluge, la colombe est le signe que la terre est prête à recevoir la nouvelle création; au baptême de Jésus, l’Esprit, comme une colombe, vient marquer le début des temps nouveaux .

Jérôme Longtin, ptre

Source: Feuillet biblique 1214 (1987).

 

Vers la Nouvelle Jérusalem…

mercredi 9 mai 2012

Mes enfants, je vous demande de venir tout contre mon Cœur de Mère afin de vous préserver de toute tentation.

Je vous demande en ces temps de renouveau de vous revêtir de la houppelande du Feu sacré de l’Esprit Saint afin de vous conformer en l’Amour de Dieu le Père.

Mes enfants, ces écrits sont et resteront par la Volonté divine. Le doute reste à ceux qui ne veulent pas glorifier mon Fils et la Sainte Trinité.

Le temps change dans sa structure la plus fondamentale afin que la haine laisse le pas à l’Amour. Le chemin sera épineux et les périodes à venir seront dures pour ceux qui refusent la Parole de mon Fils.

Pour tous mes enfants qui m’écoutent et me suivent, ils seront protégés par la très grande Miséricorde du Dieu Tout-Puissant. Le chemin qui s’ouvre n’est pas réservé à une élite, mais tous sont appelés à venir dans la Nouvelle Jérusalem.

Marie Mère des hommes – avril 2005

 

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 12,49-53.

jeudi 20 octobre 2011

Jésus disait à ses disciples : « Je suis venu apporter un feu sur la terre, et comme je voudrais qu’il soit déjà allumé !
Je dois recevoir un baptême, et comme il m’en coûte d’attendre qu’il soit accompli !
Pensez-vous que je sois venu mettre la paix dans le monde ? Non, je vous le dis, mais plutôt la division.
Car désormais cinq personnes de la même famille seront divisées : trois contre deux et deux contre trois ;
ils se diviseront : le père contre le fils et le fils contre le père, la mère contre la fille et la fille contre la mère, la belle-mère contre la belle-fille et la belle-fille contre la belle-mère. »

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible – © AELF, Paris

 

Enseigner par Marie

jeudi 16 juin 2011
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Le retour de Jésus en gloire
sera précédé d’un temps de Pentecôte,
d’un temps de l’Esprit-Saint et de Marie.
Comme Dieu s’est fait homme par Marie,
c’est aussi par elle
qu’Il achèvera son oeuvre.
Des apôtres se lèveront,
formés par Marie,
assidus à son enseignement.
Comme un feu brûlant
ils enflammeront le monde
de l’Amour Divin.
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Saint Louis-Marie de Montfort
1673-1716
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L’Esprit de Dieu… comme une colombe

lundi 17 janvier 2011

L’image de la colombe pour figurer l’Esprit Saint nous est devenue tellement familière qu’elle nous semble aller de soi. L’iconographie occidentale l’a utilisée de manière à peu près exclusive et les images différentes nous surprennent: qu’on pense, par exemple, à la célèbre icône dite de la Trinité de Roublev (XIVe-XVe siècle), où les personnes divines sont représentées par trois personnages d’apparence humaine, munis d’ailes!

Le Nouveau Testament emploie plusieurs représentations différentes pour parler de l’Esprit de Dieu, de sa présence et de son action. À part l’image familière de la colombe, qui n’apparaît que dans l’épisode du baptême de Jésus (Mt 3,16; Mc 1,10; Lc 3,22; Jn 1,32), nous trouvons également le vent: Jn 3,8; Ac 2,2, et le souffle: Jn 20,22; le feu: Ac 2,3; l’eau vive: Jn 7,38-39; le paraclet (le conseiller l’avocat de la défense): Jn 14, 6-17; 16,7ss; le tremblement de terre: Ac 4,31. Par ailleurs les auteurs du Nouveau Testament ne disent pas – on a parfois tendance à l’oublier – que l’Esprit était dans la colombe ou dans le feu ou dans quelque autre élément; ce ne sont là que des termes de comparaison; les quatre évangélistes écrivent: comme une colombe, et, lorsqu’il parle de l’Esprit de la Pentecôte, Luc emploie l’expression: des langues comme du feu (Ac 2,3).

L’image de la colombe pour représenter l’Esprit de Dieu ne vient pas directement de l’Ancien Testament, mais on peut en retrouver les sources dans certaines expressions. Se réfugier à l’ombre des ailes de Dieu est devenu une expression littéraire courante de la confiance en Dieu. Mais, en même temps, elle évoque l’image d’un Dieu ailé, ce qui ne doit pas surprendre dans le contexte des représentations divines de l’ancien Orient. On trouve cette formule dans de nombreux psaumes: Ps 17,8; 36,8; 57,2; 61,5; 63,8; 91,4, ainsi qu’en Rt 2,12. On connaît également l’image de Dieu chevauchant les Kerubim et volant sur les ailes du vent: 2 S 22,11 = Ps 18,11; voir aussi Ps 104,3. Ce sont là des manières poétiques d’exprimer le fait que Dieu n’est pas soumis, comme les humains, aux lois de la pesanteur et qu’il peut intervenir, avec une absolue liberté, à travers toute sa création.

D’un autre côté, Gn 1, nous dit qu’au commencement du monde l’Esprit de Dieu planait sur les eaux. Cette expression suggéra aux penseurs juifs postérieurs que l’Esprit de Dieu pouvait être figuré par un oiseau (voir Dt 32,11). Dans cette même ligne de réflexion, certains auteurs de la période talmudique parleront des « ailes de la Shekina » pour désigner la Providence, et « se réfugier sous les ailes de la Shekina » signifiera: se convertir au judaïsme.

À ma connaissance, nous ne possédons aucun témoignage attestant l’idée de la colombe comme image de l’Esprit de Dieu, en dehors des évangiles et des textes qui en dépendent. Nous voyons cependant que cette idée s’inscrit dans un courant de pensée très vivant à l’intérieur du judaïsme, déjà au temps de Jésus et encore longtemps après lui. Il est possible que le choix de la colombe de préférence à un autre oiseau, dépende de Gn 8,8-12: à la fin du déluge, la colombe est le signe que la terre est prête à recevoir la nouvelle création; au baptême de Jésus, l’Esprit, comme une colombe, vient marquer le début des temps nouveaux .

Jérôme Longtin, ptre

Source: Feuillet biblique 1214 (1987).

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 12,49

jeudi 21 octobre 2010

Jésus disait à ses disciples : « Je suis venu apporter un feu sur la terre, et comme je voudrais qu’il soit déjà allumé ! »

Fête du Sacré Coeur

jeudi 10 juin 2010

« Mes enfants, venez embrasser le Cœur Sacré de mon Fils et vous laisser embraser par Son Feu et Sa Lumière, qui seront les signes de votre avancée dans la connaissance. »

Marie Mère des hommes – avril 2001