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Archive pour le mot-clef ‘message’

Bonne et sainte semaine !

lundi 9 novembre 2020

 

 

 

Union de prière

vendredi 6 novembre 2020

 

 

En union de prière, tous les soirs à 18h35 pour les Stes âmes du Purgatoire, tous les jours pour les neuvaines d’Ardouane, et tous les vendredis soir, de 21h30 à 22h00, à la demande de Marie Mère des hommes, aux intentions de ce monde, aux victimes du fanatisme et pour tous ceux partis trop tôt du covid-19 ou malades.

 

 

lundi 2 novembre 2020

 

 

Union de prière

vendredi 8 mai 2020

 

En union de prière, tous les soirs à 18h35 pour les Stes âmes du Purgatoire, tous les jours pour les neuvaines d’Ardouane, et tous les vendredis soir, de 21h30 à 22h00, à la demande de Marie Mère des hommes, aux intentions de ce monde et pour tous ceux partis trop tôt du covid-19 ou malades.

 

vendredi 24 avril 2020

 

En union de prière, tous les soirs à 18h35 pour les Stes âmes du Purgatoire, tous les jours pour les neuvaines d’Ardouane, et tous les vendredis soir, de 21h30 à 22h00, à la demande de Marie Mère des hommes, aux intentions de ce monde et pour tous ceux partis trop tôt du covid-19 ou malades.

 

 

 

 

mercredi 30 octobre 2019

mardi 16 juillet 2019

 

 

 

Dieu ne conduit pas toutes les âmes par un même chemin.

samedi 8 juin 2019

Dieu ne conduit pas toutes les âmes par un même chemin. Celui qui croit marcher par la voie la plus humble est peut-être le plus élevé aux yeux du Seigneur. Ainsi, parce que dans ce monastère toutes s’adonnent à l’oraison, il ne s’ensuit pas que toutes doivent être contemplatives. C’est impossible, et l’ignorance de cette vérité pourrait jeter dans la désolation celles qui ne le sont pas. (…)

J’ai passé plus de quatorze ans sans même pouvoir méditer, si ce n’est en lisant, et il doit y avoir bien des personnes dans ce cas. D’autres sont impuissantes à méditer, même à l’aide d’un livre. Elles ne sont capables que de prier vocalement : cela les fixe davantage. (…) Il y a bien des personnes semblables. Mais si elles sont humbles, je crois qu’en fin de compte elles ne seront pas les moins bien loties : elles iront de pair avec les âmes inondées de consolations. D’une certaine manière, leur voie est même plus sûre, car nous ignorons si ces consolations viennent de Dieu ou si le démon en est l’auteur…

Ces personnes qui n’ont pas de consolations marchent dans l’humilité, craignant toujours qu’il y ait de leur faute, et elles ont un soin continuel de s’avancer. Si elles voient d’autres verser une larme, aussitôt il leur semble que, si elles n’en répandent pas, c’est le signe qu’elles sont bien en retard dans le service de Dieu, alors que peut-être devancent-elles les autres de beaucoup. En effet, les larmes, quoique bonnes, ne sont pas toutes parfaites, et il y a toujours plus de sécurité dans l’humilité, la mortification, le détachement et les autres vertus. Ainsi ne craignez rien, et dites-vous que vous ne manquerez pas d’arriver à la perfection, aussi bien que les grands contemplatifs.

Sainte Thérèse d’Avila (1515-1582)

 

 

 

La liberté de l’homme

lundi 29 octobre 2018

La liberté de l’homme : Dieu a créé l’homme raisonnable en lui conférant la dignité d’une personne douée de l’initiative et de la maîtrise de ses actes. « Dieu a ‘laissé l’homme à son propre conseil’ (Si 15,14) pour qu’il puisse de lui-même chercher son Créateur et, en adhérant librement à lui, parvenir à la pleine et bienheureuse perfection » ; « L’homme est raisonnable, et par là semblable à Dieu, créé libre et maître de ses actes » (saint Irénée)…

La liberté de l’homme est finie et faillible. De fait, l’homme a failli. Librement, il a péché. En refusant le projet d’amour de Dieu, il s’est trompé lui-même ; il est devenu esclave du péché. Cette aliénation première en a engendré une multitude d’autres. L’histoire de l’humanité, depuis ses origines, témoigne des malheurs et des oppressions nés du cœur de l’homme, par suite d’un mauvais usage de la liberté… En s’écartant de la loi morale, l’homme porte atteinte à sa propre liberté, il s’enchaîne à lui-même, rompt la fraternité de ses semblables et se rebelle contre la vérité divine.

Par sa croix glorieuse, le Christ a obtenu le salut de tous les hommes. Il les a rachetés du péché qui les détenait en esclavage. « C’est pour la liberté que le Christ nous a libérés » (Ga 5,1). En lui, nous communions à « la vérité qui nous rend libres » (Jn 8,32). L’Esprit Saint nous a été donné et, comme l’enseigne l’apôtre Paul, « là où est l’Esprit, là est la liberté » (2Co 3,17). Dès maintenant, nous nous glorifions de la « liberté des enfants de Dieu » (Rm 8,21).

La grâce du Christ ne se pose nullement en concurrente de notre liberté, quand celle-ci correspond au sens de la vérité et du bien que Dieu a placé dans le cœur de l’homme. Au contraire, comme l’expérience chrétienne en témoigne notamment dans la prière, plus nous sommes dociles aux impulsions de la grâce, plus s’accroissent notre liberté intime et notre assurance dans les épreuves, comme devant les pressions et les contraintes du monde extérieur. Par le travail de la grâce, l’Esprit Saint nous éduque à la liberté spirituelle pour faire de nous de libres collaborateurs de son œuvre dans l’Église et dans le monde.

Catéchisme de l’Église catholique

 

Bonne semaine … Bon lundi …. Dans la communion de tous les Saints !

 

 

 

Message du 25 mars 1990

mercredi 10 octobre 2018