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Archive pour le mot-clef ‘pardon’

Pâques

samedi 23 février 2013

 

source« Il faut sourire à Dieu et à la vie, ainsi vous apporterez une aide aux souffrances humaines. Mes enfants, diversifiez vos prières, les moments. Que votre vie soit un recueil de prières, un écrin d’amour et un voile de Paix. Venez sous ma protection, et demandez-moi toute l’aide que vous désirez pour le monde en crise. Faites que cette terre ne devienne un second calvaire, et une deuxième crucifixion pour le Père Eternel. Il faut crier sa joie à autrui et montrer que tout en Dieu est merveilleux et doux. L’homme doit savoir que le pardon Divin est un renouveau en chaque erreur, pour une évolution spirituelle en la connaissance Divine. »

Marie Mère des hommes – avril 1993

 

 

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 20,19-31.

vendredi 20 avril 2012
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Jésus se lève avec la plus grande majesté. “Mes fils, je vous parlerai encore pendant le temps que je resterai parmi vous. Mais pour l’instant je vous absous et vous pardonne. Après l’épreuve qui, si elle a été humiliante et cruelle, a été aussi salutaire et nécessaire, que vienne en vous la paix du pardon. Et avec elle dans vos cœurs redevenez mes amis fidèles et courageux. Le Père m’a envoyé dans le monde. Je vous envoie dans le monde pour continuer mon évangélisation. Des misères de toutes sortes viendront à vous pour vous demander du soulagement. Soyez bons en pensant à votre misère quand vous êtes restés sans votre Jésus. Soyez éclairés. Dans les ténèbres, il n’est pas permis de voir. Soyez purs pour donner la pureté. Soyez amour pour aimer. Puis viendra Celui qui est Lumière, Purification et Amour. Mais, en attendant, pour vous préparer à ce ministère, je vous communique l’Esprit Saint. Ceux à qui vous remettrez leurs péchés, ils leur seront remis. Ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus. Que votre expérience vous rende justes pour juger. Que l’Esprit Saint vous rende saints pour sanctifier. Que la volonté sincère de surmonter votre manque vous rende héroïques pour la vie qui vous attend. Ce que j’ai encore à dire, je vous le dirai quand l’absent sera revenu. Priez pour lui. Restez dans ma paix et sans agitation de doute sur mon amour.” Et Jésus disparaît comme il était entré, laissant une place vide entre Jean et Pierre. Il disparaît dans une lueur qui fait fermer les yeux tant elle est forte. Et quand les yeux éblouis se rouvrent, ils trouvent seulement que la paix de Jésus est restée, flamme qui brûle et qui soigne et consume les amertumes du passé dans un désir unique: servir.
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Extrait de la Traduction de “L’évangile tel qu’il m’a été révélé” de Maria Valtorta ©Centro Editoriale Valtortiano, Italie http://www.mariavaltorta.com/
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Pardonner à notre frère de tout notre cœur

mardi 13 mars 2012

La première parole que notre Seigneur prononça sur la croix fut une prière pour ceux qui le crucifiaient ; et c’est alors qu’il fit ce qu’écrit Saint Paul : « Aux jours où il vivait dans la chair, il offrit prières et sacrifices » (He 5,7). Certes, ceux qui crucifiaient notre divin Sauveur ne le connaissaient pas…, car s’ils l’avaient connu ils ne l’auraient pas crucifié (1Co 2,8). Notre Seigneur donc, voyant l’ignorance et la faiblesse de ceux qui le tourmentaient, commença à les excuser et à offrir pour eux ce sacrifice à son Père céleste, car la prière est un sacrifice… : « Mon Père, pardonne-leur parce qu’ils ne savent ce qu’ils font » (Lc 23,34). Combien grande était la flamme d’amour qui brûlait dans le cœur de notre doux Sauveur, puisqu’au plus fort de ses douleurs, au temps où la véhémence de ses tourments semblait lui ôter même le pouvoir de prier pour lui-même, il vint par la force de sa charité à s’oublier soi-même, mais non ceux qu’il avait créés…

Il voulait par là nous faire comprendre l’amour qu’il nous portait, lequel ne pouvait être diminué par aucune sorte de souffrance, et nous apprendre aussi quel doit être notre cœur à l’endroit de notre prochain…

Or, ce divin Seigneur s’étant employé à demander pardon pour les hommes, il est tout certain que sa demande lui fut accordée, car son divin Père l’honorait trop pour lui refuser quelque chose de ce qu’il lui demandait.

Saint François de Sales (1567-1622), évêque de Genève et docteur de l’Église
Sermon pour le Vendredi saint, 25/03/1622 (français modernisé)

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« Un homme avait deux fils »

samedi 10 mars 2012

L’homme — tout homme — est ce fils prodigue : séduit par la tentation de se séparer de son Père pour vivre dans l’indépendance…, tombé dans la tentation, déçu par le vide qui, comme un mirage, l’avait fasciné ; seul, déshonoré, exploité alors qu’il cherche à se bâtir un monde entièrement à soi ; travaillé, même au fond de sa misère, par le désir de revenir à la communion avec son Père. Comme le père de la parabole, Dieu guette le retour du fils, l’embrasse à son arrivée et prépare la table pour le banquet des retrouvailles où le Père et les frères célèbrent la réconciliation…

Mais la parabole met aussi en scène le frère aîné qui refuse de prendre sa place au banquet. Il reproche à son jeune frère ses égarements et à son père l’accueil qu’il lui a réservé alors qu’à lui-même, sobre et travailleur, fidèle à son père et à sa maison, jamais il n’a été accordé — dit-il — de festoyer avec ses amis. C’est là un signe qu’il ne comprend pas la bonté de son père. Tant que ce frère, trop sûr de lui-même et de ses mérites, jaloux et méprisant, rempli d’amertume et de colère, ne s’est pas converti et réconcilié avec son père et son frère, le banquet n’est pas encore pleinement la fête de la rencontre et des retrouvailles. L’homme — tout homme — est aussi ce frère aîné. L’égoïsme le rend jaloux, endurcit son cœur, l’aveugle et le ferme aux autres et à Dieu…

La parabole du fils prodigue est avant tout l’histoire ineffable du grand amour d’un père… Mais en évoquant, sous la figure du frère aîné, l’égoïsme qui divise les frères entre eux, elle devient aussi l’histoire de la famille humaine… Elle dépeint la situation de la famille humaine divisée par les égoïsmes, elle met en lumière la difficulté de satisfaire le désir et la nostalgie d’être d’une même famille réconciliée et unie, et elle rappelle donc la nécessité d’une profonde transformation des cœurs pour redécouvrir la miséricorde du Père et pour vaincre l’incompréhension et l’hostilité entre frères.

Bienheureux Jean-Paul II
Exhortation apostolique « Reconciliatio et paenitentia », § 5-6 (trad. © Libreria Editrice Vaticana)

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Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 6,36-38.

lundi 5 mars 2012

Jésus disait à la foule : « Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux.
Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés. Pardonnez, et vous serez pardonnés.
Donnez, et vous recevrez : une mesure bien pleine, tassée, secouée, débordante, qui sera versée dans votre tablier ; car la mesure dont vous vous servez pour les autres servira aussi pour vous. »

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« Qui peut pardonner les péchés, sinon Dieu seul ? »

dimanche 19 février 2012

« Mon enfant, tes péchés sont remis. » Par ces mots le Christ voulait être reconnu comme Dieu alors qu’il se cachait encore aux yeux humains sous l’aspect d’un homme. A cause des manifestations de sa puissance et ses miracles, on le comparait aux prophètes ; et pourtant c’était grâce à lui et grâce à sa puissance à lui qu’ils avaient opéré eux aussi des miracles. Accorder le pardon des péchés n’est pas au pouvoir de l’homme ; c’est la marque propre de Dieu. C’est ainsi que Jésus commençait à dévoiler sa divinité dans le cœur des hommes –- et cela rend les Pharisiens fous de rage. Ils répliquent : « Il blasphème ! Qui peut remettre les péchés, si ce n’est Dieu seul ? »

Toi, Pharisien, tu crois savoir et tu n’es qu’un ignorant ! Tu crois célébrer ton Dieu et tu ne le reconnais pas ! Tu crois porter témoignage, et tu portes des coups ! Si c’est bien Dieu qui remet les péchés, pourquoi n’admets-tu pas la divinité du Christ ? Puisqu’il a pu accorder le pardon d’un seul péché, c’est donc lui qui efface les péchés du monde entier : « Voici l’agneau de Dieu, voici celui qui enlève le péché du monde » (Jn 1,29). Pour que tu puisses comprendre sa divinité, écoute-le — car il a pénétré le fond de ton être. Regarde-le : il est parvenu jusqu’aux profondeurs de tes pensées. Comprends celui qui met à nu les intentions secrètes de ton cœur.

Saint Pierre Chrysologue (v. 406-450), évêque de Ravenne, docteur de l’Église
Sermon 50 ; PL 52, 339 (trad. cf Matthieu commenté, DDB 1985, p. 73)

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Amour et Paix

lundi 6 février 2012

Soyez humbles et accordez votre écoute et votre parole à enseigner l’Amour et Paix. Commencez par vos ennemis afin de vous décharger de mauvais sentiments, paroles ou attitudes. Créez l’Amour et Paix là où se trouve le conflit autour de vous et au sein de vos familles. Dieu le Père et mon Fils pardonnent, vous devez savoir vous pardonner à vous-mêmes et à autrui par l’intercession du Saint Esprit.

Mes enfants, je vous laisse suivre les berges de la rivière de vie où scintillent par les reflets du soleil mille diamants, reflets de l’amour de vos coeurs que vous apportez à autrui.

Marie Mère des hommes – janvier 2012

 

lundi 2 janvier 2012

« Tu lui pardonneras. »

lundi 7 novembre 2011

« Bienheureux les miséricordieux : ils trouveront miséricorde » (Mt 5,7). De la miséricorde, on dit qu’en Dieu elle surpasse toutes ses œuvres ; et c’est pourquoi un homme miséricordieux est un homme véritablement divin, car la miséricorde naît de la charité et de la bonté. Et c’est pour cette raison que les vrais amis de Dieu sont très miséricordieux et sont plus accueillants aux pécheurs et à ceux qui souffrent que d’autres qui n’ont pas cette charité. Et comme la miséricorde naît de la charité que nous devons avoir les uns envers les autres…, si nous ne l’exerçons pas, notre Seigneur nous en demandera un compte particulier au jour du jugement…

Cette miséricorde ne consiste pas seulement en dons, mais elle s’exerce aussi à l’égard de toutes les souffrances qui peuvent fondre sur ton prochain. Celui qui voit cela sans témoigner à ses frères une véritable charité et une réelle sympathie dans toutes ses souffrances et qui ne ferme pas l’œil sur leurs fautes, dans un sentiment de miséricorde, cet homme-là a sujet de craindre que Dieu ne lui refuse sa miséricorde, car « à la mesure dont tu auras mesuré, à la même mesure on te mesurera à ton tour » (Mt 7,2).

Jean Tauler (v. 1300-1361), dominicain à Strasbourg
Sermon 71, pour la Toussaint (trad. Cerf 1991, p. 580 rev.)

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Domina Magistra Mater

vendredi 17 juin 2011

(Relisez le 1er Epître aux Thessaloniciens  5, 1-28)

A mes enfants,

Sachez que dans chaque état de ce monde, des élus sont représentatifs de l’avènement de Jésus Christ. Qu’il est agréable au Tout Puissant, d’accorder Sa Miséricorde et Son Pardon à Ses serviteurs qui prêchent la bonne parole et agissent au mieux de leur foi. Que d’âmes explorent les Saints Sacrements de l’Eglise pour en extraire la foi vivante et le pardon éternel pour les naufragés de ce monde.

Il en est ainsi que dans l’avancée du temps, le Seigneur Tout Puissant va unir progressivement ses élus de ce monde qui, dans l’ignorance les uns des autres, arpentent le même chemin, celui de la justice du Royaume de Dieu. Que toutes ces enclaves de prières et d’amour se rassemblent pour être le calice du Corps du Christ, du Sang du Christ. Que ce calice soit versé sur ce monde et l’indifférence, afin que chacun puisse préméditer de son avenir et se réserver le droit d’obtenir le Divin Pardon.

Que l’enseignement attribué à chaque élu soit le réceptacle de la coupe d’amertume offerte par le monde à Sa Divine Puissance. Que les affinités des élus dans la foi engendrent l’exploration de l’enseignement au peuple de la future alliance, sans une quelconque entrave à l’esprit de chaque être.

La Paix et l’Amour sont la puissance et la réalisation par l’homme de la miséricorde Divine. Dieu le Père ne désire que le rachat de tous pour ne former qu’une immense lumière aliénant toute l’ivresse du Malin.

Il est demandé aux élus de ce monde, comme ils en sont chargés, de s’unir dans la prière pour soulager les maux de cette terre et faire surgir l’étincelle de l’Amour dans chaque cœur humain, tabernacle de la foi romaine et universelle.

Mes enfants, que vos cœurs soient unis dans une même allégresse, afin de suppléer aux contingences immorales et inhumaines de la terre. L’Amour et la prière de tous les Saints se joignent à l’innocence de vos âmes dans le labyrinthe de la violence humaine. Que l’Esprit Saint soulage votre esprit et vous enseigne à la joie d’enseigner autrui, dans et par la Puissance Divine. A bientôt.

Marie, Mère des hommes – janvier 1993