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Archive pour le mot-clef ‘Parole’

Sixième dimanche de Pâques

dimanche 9 mai 2010

A l’heure où Jésus passait de ce monde à son Père, il disait à ses disciples :
« Si quelqu’un m’aime, il restera fidèle à ma parole ; mon Père l’aimera, nous viendrons chez lui, nous irons demeurer auprès de lui. Celui qui ne m’aime pas ne restera pas fidèle à mes paroles.
Or, la parole que vous entendez n’est pas de moi : elle est du Père qui m’a envoyé.
Je vous dis tout cela pendant que je demeure encore avec vous ; mais le Défenseur,
l’Esprit Saint que le Père enverra en mon nom, lui, vous enseignera tout, et il vous fera souvenir de tout ce que je vous ai dit. C’est la paix que je vous laisse, c’est ma paix que je vous donne ; ce n’est pas à la manière du monde que je vous la donne. Ne soyez donc pas bouleversés et effrayés.
Vous avez entendu ce que je vous ai dit : Je m’en vais, et je reviens vers vous.
Si vous m’aimiez, vous seriez dans la joie puisque je pars vers le Père, car le Père est plus grand que moi.
Je vous ai dit toutes ces choses maintenant, avant qu’elles n’arrivent ; ainsi, lorsqu’elles arriveront, vous croirez. »

Porter du fruit

mercredi 5 mai 2010

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 15,1-8.

À l’heure où Jésus passait de ce monde à son Père, il disait à ses disciples : « Moi, je suis la vraie vigne, et mon Père est le vigneron.

Tout sarment qui est en moi, mais qui ne porte pas de fruit, mon Père l’enlève ; tout sarment qui donne du fruit, il le nettoie, pour qu’il en donne davantage.

Mais vous, déjà vous voici nets et purifiés grâce à la parole que je vous ai dite :

Demeurez en moi, comme moi en vous. De même que le sarment ne peut pas porter du fruit par lui-même s’il ne demeure pas sur la vigne, de même vous non plus, si vous ne demeurez pas en moi.

Moi, je suis la vigne, et vous, les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, celui-là donne beaucoup de fruit, car, en dehors de moi, vous ne pouvez rien faire.

Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il est comme un sarment qu’on a jeté dehors, et qui se dessèche. Les sarments secs, on les ramasse, on les jette au feu, et ils brûlent.

Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez tout ce que vous voudrez, et vous l’obtiendrez.

Ce qui fait la gloire de mon Père, c’est que vous donniez beaucoup de fruit : ainsi, vous serez pour moi des disciples.

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible – © AELF, Paris

Emmaüs

lundi 5 avril 2010

Emmaüs - Arcabas

Le lundi de Pâques, 5 avril 1999
Notre Dame de Trédos
Mes enfants, ouvrez votre cœur à Dieu. Si vous acceptez Dieu en vous, alors vous en accepterez cette si grande foi, cette miséricorde, ce pardon, cet amour à apporter à autrui. Ouvrez-vous, acceptez mon Fils en vous, acceptez, suivez Son chemin et souvent les souffrances vous paraîtront une légèreté, vous paraîtront une lumière qui sera répandue sur tous ceux qui en auront besoin. Merci, mes enfants, merci de m’écouter. Priez, priez avec moi.
Adressez à mon Fils, à Dieu le Père cette prière du cœur :
« A Toi, l’Eternel Rédempteur, nous Te demandons un autre corps physique, un autre cœur humain, d’apporter tout amour à tout être humain, d’apporter tout notre amour à Dieu afin qu’il soit répandu à tous ceux qui souffrent sur cette terre.
A Toi le Dieu Eternel, à Toi le Juge Très Saint, aide-nous sur ce chemin, aide-nous à soulager tous ceux qui souffrent, aide-nous à apporter Ta Parole dans tous les foyers, dans tous les peuples.
A Toi, Père Eternel, accepte cette humble prière afin qu’elle soit répandue pour que Ton Amour grandisse et pour que les peuples s’unissent en Ton Nom et pour Toi.»
Merci – Marie Mère des hommes

Vendredi Saint

vendredi 2 avril 2010

Arcabas - La Croix« Mes enfants, je ne vous demande qu’une chose, d’apporter l’amour à vos enfants, comme celui que j’ai apporté à mon Fils. Vos enfants n’iront pas sur la croix, le mien y a été et aujourd’hui encore vous Le remettez sur la croix parce que vous n’avez pas compris la première fois. »
Marie Mère des hommes – février 1998

« Les plaies de mon Fils se sont rouvertes et le sang s’en écoule sans discontinuer, la Parole de mon Fils n’est pas entendue par les hommes. Les larmes coulent de mon visage et inondent mes pieds, la douleur nous étreint de voir ce monde se désintéresser de lui-même. Parlez de mon Fils aux hommes, parlez de Son enseignement et du besoin que vous devez de connaître Sa parole, pour l’Amour et la Paix envers votre prochain. »
Marie Mère des hommes – décembre 1996

« Venez prier et jeûner au pied du calvaire, vous serez sauvés par le Sang de mon Fils. »
Marie Mère des hommes – août 1995

transmettre

samedi 19 septembre 2009

fleurs d'automne« Mes enfants, gardez toujours le sourire aux lèvres même si les temps vont se durcir. La terre va continuer à bouger et les hommes vont continuer à refuser la Bonne Parole.

A vous, mes enfants, de transmettre la Parole du Seigneur, de transmettre Son Amour universel, inégalable. »

Marie Mère des hommes – octobre 2006