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Archive pour le mot-clef ‘nature’

Sursauts

mercredi 6 octobre 2010

Mes enfants, ne vous étonnez point des sursauts de la terre, ils ne sont que le reflet de votre détournement de la Parole Divine. Tout élément terrestre est création dans l’Amour du Divin Père : quand un élément essaye d’en déstabiliser un autre, alors un conflit entre en jeu. L’homme sait amorcer les conflits et ne sait pas les résoudre. Seul Dieu le Père vous guidera sur le bon chemin afin de revenir à une entente complète entre l’homme et la nature.

Marie Mère des hommes – février 2005

St François d’Assise

lundi 4 octobre 2010

Né à Assise (en Italie) en 1181, d’où l’appellation « François d’Assise », François est issu d’une famille riche. Il vit comme tous les jeunes de son âge et de son époque diverses expériences : les fêtes, les escapades et même la guerre durant laquelle il est fait prisonnier et souffre de maladie. Durant sa convalescence, il ressent une insatisfaction profonde face à la vie. Il cherche, il regarde autour de lui mais il reste sans réponse…

Un jour en écoutant un passage de l’Évangile, il lui vient une réponse à ce qu’il cherche : passer sa vie à aimer toute la création. Il transforme alors sa vie, il se fait pauvre, se soucie d’annoncer les messages de joie, d’espoir et d’amour contenus dans la Bible, et de porter la paix aux gens et à toute la Création. Il s’habille d’un vêtement gris et se ceint la taille d’un cordon. Il porte ainsi le vêtement du pauvre de son époque.

Toute sa vie, il fait la promotion de la solidarité aux pauvres, aux démunis, aux marginalisés. Il dénonce les injustices et s’oppose à toute appropriation. C’est dans la prière qu’il trouve toute sa force pour aimer et pour aider les autres. Un jour, il réalise que toute la Création forme une grande famille, une sorte de fraternité universelle. Il invite tous les humains à l’amour mutuel et au respect de notre mère la Terre, notre soeur la Lune, notre frère le Soleil…

Le fenouil

jeudi 23 septembre 2010

Du latin « foin », le fenouil est une plante originaire du bassin méditerranéen où on peut, encore aujourd’hui, le trouver à l’état sauvage au bord des routes ou de la mer. Apprécié dès l’Antiquité pour ses vertus médicinales et son utilisation condimentaire, il est ainsi passé entre les mains des Chinois, des Égyptiens, des Grecs et des Romains. Ce sont ces derniers qui l’introduisirent en Angleterre. Là-bas, les puritains mâchaient des « graines de réunion » durant les longues heures à l’église pour rafraîchir leur haleine. Fort épris de l’épice plutôt que du légume, ils l’emportèrent dans leurs bagages en Amérique lors de la colonisation.

C’est ensuite vers la fin du Moyen Âge que les Italiens commencèrent à le cultiver, avant tout pour fabriquer des solutions antiseptiques et amincissantes. A cette époque, il faisait partie des herbes sortilèges qui avaient le pouvoir d’éloigner les démons. Peu à peu, le fenouil prit place dans les cuisines de Toscane puis, au fil des siècles dans celles de France. Jamais toutefois il n’aura connu le même succès chez nous que de l’autre côté des Alpes, où la gastronomie lui réserve véritablement une place privilégiée, encore aujourd’hui.

Cette plante potagère, aromatique et ombellifère produit des fleurs, petites et jaunes, visibles de juin à septembre, qui sont disposées en ombelles à l’extrémité des tiges. La partie du fenouil que l’on consomme s’appelle le bulbe. Cela dit, il ne s’agit en aucun cas de l’organe souterrain de la plante mais, en fait, de la base charnue des feuilles, imbriquées les unes dans les autres. Blanc, rond et joufflu, il est surmonté de tiges vertes qui portent des plumets aux reflets bleuâtres, d’où se dégage un parfum anisé. Enfin, ses graines, une fois mûres, prennent une teinte brune.

Le fenouil ou aneth doux est une plante médicinale de la plus haute Antiquité. Son huile essentielle était alors utilisée contre les parasites du corps. Toute la plante possède une agréable odeur anisée. C’est le fruit qui est utilisé pour ses propriétés sur l’appareil digestif. Riche en huile essentielle, il est antispasmodique et spasmolytique il soigne les spasmes et les douleurs de l’estomac (gastrite) et du côlon (colite). Le fenouil permet d’éviter les fermentations intestinales : il combat la formation des gaz intestinaux et est indiqué dans l’aérophagie. C’est aussi un stimulant de la digestion.

Naturel

mercredi 18 août 2010

« Ah, et je vous transmets le baiser à travers un ami de Saint François d’Assise. C’est un oiseau, on l’appelle le rossignol et il vous transmet tout son amour au travers d’un baiser. »

Marie Mère des hommes – août 2010

Chemin

mercredi 11 août 2010

Mes enfants, en chaque jour que la nature soit un lieu de réconfort et de Paix en vos cœurs. Regardez-la, admirez-la et vous comprendrez la grandeur de Dieu au travers d’elle. Vous en serez réconfortés et le chemin s’éclaircira au-devant de votre marche.

Marie Mère des hommes – janvier 1998

Prière

lundi 9 août 2010

Profitez de la création Divine, la nature, pour vous ressourcer et contempler son œuvre. Que de prières à faire aussi pour que l’homme conserve cette grande œuvre !

Marie Mère des hommes – novembre 1995

Nature

samedi 7 août 2010

Mes enfants, ouvrez votre cœur et regardez la beauté de ce que Dieu le Père a créé autour de vous, regardez aussi ce que vous en faites et vous connaîtrez la vraie jouissance de la vie naturelle et terrestre.

Marie Mère des hommes – février 1994

Dieu est en tout, tout est en Dieu.

jeudi 5 août 2010

Les lys des champs

samedi 3 juillet 2010

« Observez les lys des champs, comme ils poussent : ils ne peinent ni ne filent. Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux. »

Mt 6, 28-29

Jardins monastiques

dimanche 27 juin 2010

A l’origine, les jardins monastiques médiévaux étaient des jardins utilitaires. Tout l’art horticole d’Europe a pu s’inspirer de ces jardins. C’étaient avant tout les bénédictins qui jetèrent les fondements de la construction de jardins, conformément à la règle de leur ordre leur dictant une vie dans le travail spirituel et physique. Les monastères étaient souvent autarciques et vivaient en grande partie des produits de leurs jardins. Les arbres fruitiers, avec le rythme de leur végétation, étaient la métaphore de la Résurrection, et le verger servait souvent de cimetière du monastère. Les plantes toujours vertes renvoyaient à la foi dans une vie éternelle. La symbolique chrétienne et l’interprétation du monde étaient toujours présentes. Les jardins monastiques, comme importants centres de développement de la vie médiévale, influèrent considérablement sur la culture des plantes et leur utilisation dans l’alimentation, la médecine et le quotidien. Souvent cachés derrière les murs du monastère, ces trésors florissants des anciens monastères nous offrent leur beauté et leur esthétique naturelle.