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Archive pour le mot-clef ‘message’

Bulletin n°87

lundi 28 septembre 2015

bulletin 87

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Message de N.D. de La Salette

samedi 19 septembre 2015

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Lors de son apparition, la Vierge Marie a confié à Maximin et Mélanie ensemble un Message à destination de « tout son peuple ».
L’Evêque de Grenoble l’a authentifié par mandement le 19 septembre 1851.

Voici le texte du Message de Marie à La Salette :

« Avancez, mes enfants, n’ayez pas peur, je suis ici pour vous conter une grande nouvelle.

Si mon peuple ne veut pas se soumettre, je suis forcée de laisser aller le bras de mon Fils. Il est si fort et si pesant que je ne puis plus le maintenir. Depuis le temps que je souffre pour vous autres ! Si je veux que mon Fils ne vous abandonne pas, je suis chargée de le prier sans cesse. Pour vous autres, vous n’en faites pas cas ! Vous aurez beau prier, beau faire, jamais vous ne pourrez récompenser la peine que j’ai prise pour vous autres.

Je vous ai donné six jours pour travailler, je me suis réservé le septième et on ne veut pas me l’accorder. C’est ça qui appesantit tant le bras de mon Fils.

Et aussi, ceux qui mènent les charrettes ne savent pas jurer sans mettre le nom de mon Fils au milieu. Ce sont les deux choses qui appesantissent tant le bras de mon Fils.

Si la récolte se gâte, ce n’est rien qu’à cause de vous autres. Je vous l’avais fait voir l’an dernier par les pommes de terre, vous n’en avez pas fait cas. C’est au contraire : quand vous en trouviez des pommes de terre gâtées, vous juriez, vous mettiez le nom de mon Fils au milieu. Elles vont continuer, et cette année, pour la Noël, il n’y en aura plus.

(Jusqu’ici la Belle Dame a parlé en français. Elle prévient une question de Mélanie et termine son discours en patois.)

Vous ne comprenez pas, mes enfants ! Je vais vous le dire autrement. Si la recolta se gasta…
Si vous avez du blé, il ne faut pas le semer. Tout ce que vous sèmerez, les bêtes le mangeront et ce qui viendra tombera tout en poussière quand on le battra. Il viendra une grande famine.
Avant que la famine vienne, les petits enfants au-dessous de 7 ans prendront un tremblement et mourront entre les mains des personnes qui les tiendront.
Les autres feront pénitence par la famine. Les noix deviendront vides, les raisins pourriront.

(A ce moment Mélanie voit que la Belle Dame dit quelques mots à Maximin, mais elle n’entend pas. Puis c’est au tour de Maximin de comprendre qu’elle dit quelques mots à Mélanie qu’il n’entend pas non plus. Puis elle poursuit.)

S’ils se convertissent, les pierres et les rochers deviendront des monceaux de blé et les pommes de terre seront ensemencées par les terres.

Faites-vous bien votre prière, mes enfants ?
Pas guère, Madame.
Ah ! Mes enfants, il faut bien la faire, soir et matin, ne diriez-vous seulement qu’un « Notre Père » et un « Je vous salue ». Et quand vous pourrez mieux faire, dites-en davantage.
L’été, il ne va que quelques femmes un peu âgées à la Messe. Les autres travaillent le dimanche tout l’été, et l’hiver, quand ils ne savent que faire, ils ne vont à la Messe que pour se moquer de la religion.
Le Carême, ils vont à la boucherie, comme les chiens.
N’avez-vous point vu de blé gâté, mes enfants ?
Non Madame !
Mais vous, Maximin, mon enfant, vous devez bien en avoir vu une fois, au Coin, avec votre père. Le maître du champ dit à votre père de venir voir son blé gâté. Vous y êtes allés. Votre père prit deux ou trois épis dans sa main, les froissa et ils tombèrent tous en poussière. En vous en retournant, quand vous n’étiez plus qu’à une demi-heure de Corps, votre père vous donna un morceau de pain en vous disant : « Tiens, mon petit, mange encore du pain cette année, car je ne sais pas qui va en manger l’an qui vient si le blé continue comme ça ».
Ah ! Oui, Madame. Je m’en rappelle à présent. Je ne m’en rappelais pas tout à l’heure.

Eh bien, mes enfants, vous le ferez passer à tout mon peuple !
Allons, mes enfants, faites-le bien passer à tout mon peuple ! »

 

 

 

 

Des apparitions…

mercredi 2 septembre 2015

Maman Marie

Il est d’abord nécessaire de rappeler que, si la Vierge Marie apparaît, ce n’est pas pour ajouter quoi que ce soit à la Révélation.
Les apparitions mariales s’offrent ainsi comme des témoignages de la présence de notre mère céleste au cours de l’histoire humaine et dans chacune de nos vies (…) avec trois grands accents : témoigner de sa maternité, conduire à son fils Jésus et nous ouvrir davantage aux autres.

La première grande raison des apparitions mariales est toute simple : Marie se manifeste parce qu’elle est notre mère. Jésus nous l’a donnée sur la Croix (cf. Jean 19,25-27) ; il n’est donc pas inconcevable qu’elle recoure à tous les moyens de grâce pour nous témoigner de sa présence maternelle, comme toute mère a besoin de dire son amour à ses enfants.(…)

Par sa présence maternelle, la Vierge Marie révèle donc son souci premier : nous conduire à son fils. Dans d’autres lieux d’apparition, la prière est souvent révélée aussi par Marie comme le chemin privilégié d’union à Jésus. Une prière d’adoration mais aussi d’intercession : très souvent reviennent des appels à prier pour les pécheurs, pour le monde ou pour les prêtres.Mais cette prière doit s’accompagner d’un effort de vérité. Dans les apparitions, la Vierge Marie insiste fréquemment sur l’exigence de vérité, même si le mot ne se retrouve pas nécessairement. Si Marie apparaît, c’est pour dénoncer les hypocrisies, les mensonges, mais aussi toutes les attitudes qui ne correspondent pas à la volonté de son fils.(…) Soucieuse du bien de ses enfants, Marie les encourage ou même exige d’eux une participation plus assidue aux sacrements. Que ce soit pour les respecter davantage, en user plus fréquemment ou prendre conscience de leur importance pour le salut éternel, la Vierge apparaît souvent pour conduire à une pratique sacramentelle plus intense. Ainsi, la présence de Marie par des apparitions ne remplace absolument pas les sacrements ! (…)

Pour être vécus en profondeur et dans toute leur logique, les sacrements doivent par ailleurs soutenir une charité active. Au Christ, par Marie, vers les autres : c’est le sain mouvement spirituel auquel invitent souvent les apparitions mariales, d’où qu’elles soient. Jamais elles n’écartent des autres ; au contraire, Marie y appelle souvent à se préoccuper de leurs besoins matériels et de leur santé. (…) Mais ce souci ne concerne pas seulement le corps ou les besoins matériels. La Vierge Marie nous demande aussi de nous préoccuper du salut des autres. Y a-t-il un seul lieu reconnu d’apparitions mariales où la Mère de Dieu ne demande avec insistance de prier pour les pécheurs ?

Ainsi, la Vierge Marie témoigne qu’elle apparaît surtout pour encourager à la conversion.
Ce n’est pas leur vie spirituelle personnelle qui est l’objectif ultime des manifestations et des paroles mariales, c’est la conversion des pécheurs. Alors, si la Vierge Marie a quelque chose à nous dire à travers les apparitions, c’est tout simplement : vivez l’Évangile !

 

P. Ludovic Frère, Vicaire général de Gap, recteur du sanctuaire Notre-Dame du Laus.
« Pourquoi les apparitions? »
croire.com

http://escapamargue.blogspot.fr

 

 

 

Bulletin n°86

mercredi 26 août 2015

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Assomption 2015

lundi 24 août 2015

 

 

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Bulletin n°85

mercredi 15 juillet 2015

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Message reçu à Ardouane le 12 juillet 2015

lundi 13 juillet 2015

 

 

 

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Bulletin n°84

mercredi 24 juin 2015

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Sacré-Coeur de Jésus, solennité

vendredi 12 juin 2015

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Le Christ révèle à sainte Marguerite-Marie Alacoque, le 27 décembre 1673, que « Mon divin Cœur est si passionné d’amour pour les hommes, et pour toi en particulier que, ne pouvant plus contenir en lui-même les flammes de son ardente charité, il faut qu’il les répande par ton moyen, et qu’il se manifeste à eux pour les enrichir de ses précieux trésors que je te découvre… »

En juin 1675, Il s’adresse à elle en ces termes : « Voilà ce Cœur qui a tant aimé les hommes, qu’il n’a rien épargné, jusqu’à s’épuiser et se consommer, pour leur témoigner son amour.
Je te demande que le premier vendredi d’après l’octave du Saint-Sacrement soit dédié à une fête particulière pour honorer mon Cœur, en communiant ce jour là, et en lui faisant réparation d’honneur par une amende honorable, pour réparer les indignités qu’il a reçues pendant le temps qu’il a été exposé sur les autels.

Je te promets aussi que mon Cœur se dilatera, pour répandre avec abondance les influences de son divin amour sur ceux qui lui rendront cet honneur, et qui procureront qu’il lui soit rendu…
Fais savoir au fils ainé de mon Sacré-Cœur (le roi Louis XIV) que, comme sa naissance temporelle a été obtenue par la dévotion aux mérites de ma sainte enfance, de même il obtiendra sa naissance de gloire éternelle par sa consécration à mon Cœur adorable. Mon Cœur veut régner dans son palais, être peint sur ses étendards et gravé dans ses armes pour les rendre victorieuses de tous ses ennemis et de tous ceux de la sainte Église.

Mon Père veut se servir du roi pour l’exécution de son dessein, qui est la construction d’un édifice public où serait placé le tableau de mon Cœur pour y recevoir les hommages de toute la France »

Il faudra attendre 1870 : la guerre éclate entre la France et l’Allemagne ; la défaite militaire française ne tarde pas, suivie de l’occupation d’une partie du pays par les troupes allemandes. Alexandre Legentil, député sous Louis-Philippe, et son beau-frère, Hubert Rohault de Fleury, font vœu de construire une église consacrée au Cœur du Christ, en réparation et pénitence pour les fautes commises par les Français : « Pour faire amende honorable de nos péchés et obtenir de l’infinie miséricorde du Sacré-Cœur de Notre Seigneur Jésus-Christ le pardon de nos fautes, ainsi que les secours extraordinaires qui peuvent seuls délivrer le Souverain Pontife de sa captivité et faire cesser les malheurs de la France, nous promettons de contribuer à l’érection, à Paris, d’un sanctuaire dédié au Sacré-Cœur de Jésus. » Pendant la première guerre mondiale, en réponse à la demande adressée par sainte Marguerite Marie, en 1675, plus de douze millions de drapeaux et fanions français ornés du Sacré Cœur de Jésus furent portés par les soldats, les régiments, etc. En 1917, la République a interdit la consécration individuelle des soldats au Sacré Cœur et le port du Sacré Cœur. Dans une lettre aux pèlerins de Paray, en 1999, Jean Paul II « invite tous les fidèles à poursuivre avec piété leur dévotion au culte du Sacré-Cœur de Jésus, en l’adaptant à notre temps, pour qu’ils ne cessent d’accueillir ses insondables richesses, qu’ils y répondent avec joie en aimant Dieu et leurs frères, trouvant ainsi la paix, entrant dans une démarche de réconciliation et affermissant leur espérance de vivre un jour en plénitude auprès de Dieu, dans la compagnie de tous les saints. »

Coeur Sacre de Jesus

Neuvaine au Cœur Sacré de Jésus

Padre Pio disait chaque jour cette neuvaine pour tous ceux qui se recommandaient à ses prières :

I – Ô Jésus, qui avez dit : « En vérité, je vous le dis, demandez et vous recevrez, cherchez et vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira ! » voici que je frappe, je cherche et je demande la grâce…
Pater, Ave, Gloria

Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance et j’espère en vous.

II – Ô Jésus, qui avez dit : « En vérité, je vous le dis, tout ce que vous demanderez à mon Père en mon Nom, il vous l’accordera ! » voici qu’en votre Nom je demande la grâce…

Pater, Ave, Gloria

Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance et j’espère en vous.

III – Ô Jésus, qui avez dit : « En vérité, je vous le dis, le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point ! » voici qu’en m’appuyant sur l’infaillibilité de vos saintes paroles je demande la grâce…

Pater, Ave, Gloria

Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance et j’espère en vous.

Prière – Ô Cœur Sacré de Jésus, à qui il est impossible de ne pas avoir compassion des malheureux, ayez pitié de nous, pauvres pécheurs, et accordez-nous la grâce que nous vous demandons, par l’intercession du Cœur Immaculé de Marie, notre tendre Mère.

Saint Joseph, père adoptif du Sacré-Cœur de Jésus, priez pour nous.

Salve Regina

Pour un approfondissement :

>>> La dévotion au Sacré-Cœur

 

 

 

 

France

samedi 30 mai 2015

Citation Jeanne d'Arc