Je suis heureuse d’être là, ça fera plaisir. (Jean Marie, tu m’écoutes ?) C’est Mademoiselle Cadènes, je ne veux pas que vous pleuriez, ça sert à rien, vous savez que j’ai toujours vécu une vie, un petit peu d’ascète, où j’étais en permanence avec le Padre (Pio). Aujourd’hui je suis heureuse parce que je peux vous aider, je peux vous apporter quelque chose et Jean-Marie est là pour le prouver. Avancez, avancez. (Roger respire avec difficulté.) Vous savez, on a brûlé mon lit, il est venu la nuit m’assaillir, il m’a fait beaucoup de choses, j’en suis sortie indemne. Aujourd’hui je viens avec vous parce que vais vous aider, parce qu’il ne peut rien contre vous. Il ne peut faire que du…, il ne peut faire que du mal, (Roger tombe, et dit : « c’est pas grave, c’est pas grave. »), que du mal physique, mais ce mal se guérit par l’Esprit, et l’Amour de Dieu le Père.
17 mai 2009
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