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Archive pour août 2009

15 août 1997

vendredi 28 août 2009

Marie permet aujourd’hui que je vous parle.

J’étais prêtre dans un petit village, dans une campagne. Je travaillais autant la nuit que le jour ; je confessais, je priais, j’allais de campagne en campagne, j’allais bénir, j’allais donner l’extrême onction. On m’appelait « le petit curé d’Ars ».

Je viens ici pour vous dire que tout ce qui se passe correspond à la volonté Divine et non à la volonté de Satan. J’ai connu Satan, je me suis battu avec lui des nuits entières. Vous n’êtes point sous l’emprise de Satan et quiconque le dira devra en apporter les preuves, comme quiconque dira que vous êtes du côté de Dieu en apportera les preuves. Sachez donc écouter la parole Divine, restez près du Père Eternel en toute occasion et surtout ne vous défiez jamais d’autrui.

Restez toujours unis à l’Eglise de quelque manière que l’on puisse vous traiter ; vous serez reconnus dans cette Eglise, car vous aimerez cette Eglise et l’Eglise vous aimera.

Je prie chaque jour pour tous les êtres du monde entier, pour tous ceux qui souffrent, pour tous les plus petits, les plus miséreux, les plus incroyants. Et tous les jours, la foi augmente dans ce monde afin qu’elle devienne universelle. Je vous rends à votre Mère et je continuerai à prier sans cesse pour vous.

Saint Jean-Marie Vianney – Curé d’Ars

13 juillet 1997

jeudi 27 août 2009

Prenez votre bâton de pèlerin, il faut que vous preniez votre balluchon et que vous alliez sur le chemin de la Terre afin d’aider tous ceux qui sont dans la tristesse, dans l’amertume, dans la pauvreté, il faut que vous bougiez, que vous alliez au-devant des autres ; il faut absolument sortir de ce marasme tous les gens qui y sont tombés par la faute de l’argent, par la faute du modernisme. Au travers de votre vie actuelle, vous n’avez même pas su reconnaître qui était Dieu et qui était le Malin.

Je suis là simplement pour vous aider et vous apporte un secours permanent, afin de vous guider sur ce chemin. J’ai passé aussi mon temps sur les routes. J’ai vécu la maladie, j’ai vécu la pauvreté, la misère, le froid, le chaud, la faim, vous devez en faire autant, je suis là pour vous aider.

On m’appelait le petit Paul. Tous ceux que j’ai aidés sont au Paradis maintenant, ils sont avec vous en train de prier afin que vous suiviez le chemin de Dieu le Père. J’ai marché pieds nus tant de fois et quand je vous vois, galvaudés tels que vous êtes, vous ne méritez pas de suivre ce chemin, vous n’êtes pas réveillés à la parole de Dieu. Vous êtes au sein de votre vie des robots, des gens que l’on manipule, que l’on même à droite, à gauche, selon la volonté de l’un ou de l’autre. Il n’y a qu’une volonté, c’est la volonté Divine, c’est la volonté qui doit vous montrer le paradis, c’est la volonté qui doit vous apprendre l’enseignement d’Amour et de Paix au travers de tous les hommes. Ce n’est pas en embrassant son frère qu’on lui apporte tout le bonheur, non, c’est en lui donnant tout ce que l’on a, alors oui, là, Dieu passe de l’un vers l’autre et vous êtes tous deux unis avec Dieu. Il faut donner, donner, partager, offrez ce que vous avez, Dieu le multipliera cent fois quand vous serez au paradis. Mais voilà, le chemin est encore long parce que vous faites deux pas en avant, un pas en arrière, vous avez peur ; allez de l’avant, vous êtes soutenus et vous serez toujours soutenus. Je vous laisse avec votre Mère.

15 juin 1997

jeudi 27 août 2009

Mes frères, notre Mère Céleste me permet de vous dire quelques mots. Je suis heureux de pouvoir participer à vos côtés à l’unification de ce monde. Je suis le Padre. Je suis là selon la volonté Divine du Fils de Dieu et notre Mère Céleste. Elle désire que je vous octroie toute la force de ma prière pour poursuivre ce chemin, votre chemin de lumière et de gloire.

Je serai toujours à vos côtés et je prierai sans cesse que les épines qui sont sur votre chemin soient écrasées. Ne rejetez personne, vivez dans l’Eglise du Fils de Dieu, vivez avec eux, avec tous ses représentants sans jamais leur tourner le dos. Je suis l’un de ses fils qui a participé à l’évolution de cette Eglise. Suivez mon chemin et regardez les tous avec les yeux de l’amour, avec les yeux du cœur. Je suis heureux d’être parmi vous et je vous rends à votre Mère Céleste.

15 juillet 1993

mercredi 12 août 2009

Par l’intermédiaire de mon Fils terrestre, J’attends ardemment vos prières, afin que mon peuple s’assemble dans l’allégresse, pour la reconduction de Mon Eternité Divine. Je vous ai ouvert Mon Cœur, J’ai répandu le Sang de Mon Fils, Je vous ouvre les portes de la gloire et l’infinie miséricorde, pour le salut de l’univers. Offrez-Moi seulement une parole d’Amour et de Paix, de toute la force de votre être, avec chaleur et la gratitude d’un fils envers son père.

J’envoie Mon Esprit sur qui ouvre son cœur et tend l’oreille, mais que de surdité et de désintéressement. Les larmes de Mon Cœur ne seront pas expiatoires aux fautes humaines ; vous détenez en vos mains votre vie de tout temps. Comme les portes du temple se sont fermées aux marchands, les portes de la céleste résurrection se fermeront aux marchands d’hommes, aux esclavagistes et suppôts de Satan. Et dans le livre de la Vie, il est écrit que vous entrerez dans le troisième conflit armé mondial, aux portes de la fin de ce millénaire. Guerre d’usure et de lâcheté, celle-ci est programmée par les plus grandes instances de ce monde. Mais dans cette période de ténèbres, J’accorderai au soleil de réchauffer et d’éclairer mes brebis non égarées et guidant le reste du troupeau. La mère Divine est l’exemple à écouter et suivre, pour vous permettre d’avancer sur cette route jonchée de pétales de roses que Marie sème au-devant d’elle pour soulager vos pieds.

Que Ma Mission soit ; et dans ce monde, nombre de mes enfants sont choisis pour l’évolution de Mon troupeau final. Priez votre mère éternelle car elle souffre, et vous guide toujours avec le sourire et la douceur d’une vraie mère. Que son intercession soit reconnue à jamais. Elle est votre divine providence, elle vous est salvatrice.

Acceptez, vous qui lirez ces quelques lignes, la Bénédiction Divine et éternelle ; elle réchauffera votre cœur au sein de la tourmente et ces paroles ne vous quitteront plus.